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⭐ À seulement 16 ans, elle crée une oreillette capable d’alerter la police en cas d’agression
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⭐ À seulement 16 ans, elle crée une oreillette capable d’alerter la police en cas d’agression

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oreillette e1764009798789 ⭐ À seulement 16 ans, elle crée une oreillette capable d’alerter la police en cas d’agression

Parfois, il suffit d’une seule étincelle pour allumer un avenir plus lumineux… et dans ce cas-ci, cette étincelle est venue d’une écolière de 16 ans, originaire du Limpopo, au grand cœur et aux idées encore plus grandes.

L’incroyable histoire de Bohlale Mphahlele, datant de 2020, refait surface et devient virale — et pour une bonne raison. Elle n’a pas simplement regardé les manchettes défiler. Elle n’a pas accepté le statu quo. Au plus fort de la crise de violence basée sur le genre en Afrique du Sud, alors que la plupart des adolescentes jonglaient entre le secondaire et les devoirs, Bohlale a créé un dispositif qui pouvait sauver des vies.

Et cinq ans plus tard, elle continue de repousser les limites du possible, transformant une idée brillante en une véritable mission pour rendre l’Afrique du Sud plus sûre.

aggress ⭐ À seulement 16 ans, elle crée une oreillette capable d’alerter la police en cas d’agression

En 2020, Bohlale était élève de 11e année lorsqu’elle a pris conscience de l’ampleur dévastatrice des statistiques concernant la violence basée sur le genre et la traite humaine. Mais au lieu d’être paralysée par l’énormité du problème, elle s’est posé une question simple :


Que puis-je faire pour aider ? Et elle est passée à l’action.

Elle a conçu un dispositif de sécurité portable appelé « Alerting Earpiece » – un accessoire discret, porté comme une simple boucle d’oreille, mais doté d’une puissance extraordinaire. Si la personne qui le porte se retrouve en danger, elle peut appuyer sur un bouton dissimulé, déclenchant immédiatement une alerte envoyée à des contacts prédéfinis. Le dispositif prend une photo de l’agresseur, localise la victime et transmet toutes les informations… en temps réel.

Le tout… à partir d’une simple boucle d’oreille. Laissez ça mijoter un instant.

Elle a expliqué que son objectif était de créer quelque chose de suffisamment petit et rapide pour aider une personne en situation de crise, sans qu’elle ait besoin de crier ou de courir. Il s’agissait d’offrir aux femmes et aux enfants une réelle chance de se défendre.

Le dispositif a rapidement attiré l’attention. Elle l’a présenté à une exposition scientifique nationale, où elle a remporté une médaille de bronze. Il a fait parler de lui à la radio, dans les médias, et même le ministre provincial de l’Éducation de l’époque a qualifié son innovation de grande fierté pour le Limpopo. Des organisations internationales s’y sont également intéressées — et avec raison.

Ce n’était pas seulement parce qu’elle avait inventé quelque chose d’ingénieux. C’était surtout parce qu’elle avait choisi d’agir. Et son travail était loin d’être terminé.

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