
Le Parti libéral du Québec vient de passer à l’offensive. Trois jours après la publication d’échanges de textos explosifs dans le Journal de Montréal — des messages laissant entendre que des membres du PLQ auraient été payés pour voter pour Pablo Rodriguez — le parti annonce une mesure majeure.
Ce vendredi après-midi, lors d’un point de presse très attendu, le chef du PLQ, Pablo Rodriguez, a confirmé que son parti enverra une mise en demeure officielle au Journal de Montréal.
Mercredi dernier, le JdM dévoilait des messages troublants, dont un qui disait :
« Il faut encore payer pour que le monde vote Pablo. »
Une accusation lourde, qui suggère de possibles manœuvres
frauduleuses lors de la course à la chefferie libérale.
Depuis, la pression politique et médiatique ne cesse de
grimper.
Le même jour, Pablo Rodriguez s’était défendu avec vigueur, martelant qu’il n’avait rien à cacher, qu’il n’avait rien à se reprocher, et qu’il allait « se tenir debout pour son parti ».
«Il faut encore payer pour que le monde vote Pablo»: des textos troublants derrière la crise au PLQhttps://t.co/IUGMQmAK9W
— Le Journal de Montréal (@JdeMontreal) November 19, 2025
Aujourd’hui, devant les journalistes, Rodriguez a tenu à clarifier sa position :
« Le Parti libéral du Québec va mettre en demeure le Journal de Montréal concernant leur article sur les textos allégués. »
Mais il a également pris soin de préciser un point crucial :
« Je veux être très clair : on ne veut pas que les sources soient dévoilées. »
Le PLQ ne cherche donc pas à s’attaquer aux informateurs, mais plutôt à valider la fiabilité du matériel publié.
Rodriguez a énuméré trois demandes clés adressées au JdM :
- 👉 Identifier les personnes impliquées dans les échanges.
- 👉 Fournir les numéros de téléphone liés aux textos.
- 👉 Décrire les démarches journalistiques effectuées avant publication pour vérifier l’authenticité des messages.
Autrement dit, le PLQ veut connaître la chaîne de validation avant que l’article ne voie le jour.
Rodriguez a aussi ajouté un autre élément important :
« Mme la députée Sona Lakhoyan a informé le caucus qu’elle va envoyer une mise en demeure à Cogeco.
Elle réitère formellement qu’elle n’est pas la personne qui a écrit les textos allégués. »
Cette déclaration vient renforcer l’idée que les élus libéraux se sentent personnellement visés par les allégations, et qu’ils comptent défendre leur réputation.
«Il faut encore payer pour que le monde vote Pablo»: des textos troublants derrière la crise au PLQhttps://t.co/IUGMQmAK9W
— Le Journal de Montréal (@JdeMontreal) November 19, 2025
Avec ces nouvelles actions légales, le PLQ cherche à reprendre le contrôle d’un scandale qui pourrait gravement nuire à l’image du parti et à la crédibilité de son chef.
Pour l’instant, le Journal de Montréal n’a pas réagi publiquement à cette mise en demeure.
Une chose est certaine :
👉 L’affaire des textos ne fait que commencer.
👉 Et le PLQ ne compte pas laisser passer ça sans se
battre.
Elle apporte une touche de profondeur et de sensibilité à l'univers des potins de stars. À travers ses mots envoûtants, Elle explore les émotions et les vérités cachées derrière les visages célèbres. Son blog offre une pause bienvenue dans le tourbillon des ragots, invitant les lecteurs à réfléchir et à ressentir au-delà des apparences.


