
L’histoire paraît totalement improbable… et pourtant, elle est
bien réelle.
En Espagne, une employée licenciée parce qu’elle arrivait trop
souvent en avance au travail a porté l’affaire devant les
tribunaux. Mais contre toute attente, la justice n’a pas jugé son
renvoi abusif — elle a plutôt donné raison à son employeur.
La salariée, employée dans une entreprise de livraison à
Alicante, commençait officiellement à 7 h 30.
Pourtant, elle avait développé l’habitude d’arriver entre 6
h 45 et 7 h, soit 30 à 45 minutes trop tôt.
Un comportement qui pourrait paraître exemplaire… mais pour son
employeur, il n’en était rien.
Selon lui :
- elle n’avait aucune tâche à accomplir à cette heure-là ;
- elle ne contribuait pas réellement au fonctionnement de l’entreprise ;
- elle ignorait volontairement les avertissements répétés.
Après plusieurs remontrances, le couperet est tombé : licenciement pour faute grave.
L’employée, convaincue d’avoir été traitée injustement, conteste son licenciement devant le tribunal social d’Alicante.
Mais la justice est catégorique : elle a tort.
Le verdict souligne :
« La conduite de la travailleuse a eu un impact sur la relation de confiance et de loyauté. Malgré les avertissements de l’entreprise, elle a insisté pour entrer prématurément. »
Pire encore, l’enquête révèle qu’elle utilisait aussi sa signature électronique pour pointer à distance de manière frauduleuse.
Le tribunal conclut donc à des fautes graves :
- déloyauté,
- abus de confiance,
- désobéissance.
Résultat : licenciement validé.
Cette affaire rappelle un point étonnant mais réel : dans certaines juridictions, arriver trop en avance, sans autorisation, peut être considéré comme une insubordination si cela perturbe l’organisation du travail.
Arriver en retard peut coûter cher…
Arriver trop tôt aussi, visiblement. 😅
Elle apporte une touche de profondeur et de sensibilité à l'univers des potins de stars. À travers ses mots envoûtants, Elle explore les émotions et les vérités cachées derrière les visages célèbres. Son blog offre une pause bienvenue dans le tourbillon des ragots, invitant les lecteurs à réfléchir et à ressentir au-delà des apparences.



