Il allait perdre sa maison… jusqu’au moment où le juge a quitté son estrade

À 88 ans, Arthur, vétéran du Vietnam, risque de perdre sa petite
maison en ruine. Veuf, sans enfants, il n’a pas les moyens de payer
les réparations exigées par la ville : perron brisé, peinture qui
s’écaille, toit qui fuit… Le jour de l’audience, assis dans son
fauteuil roulant, il écoute l’avocat réclamer des milliers de
dollars d’amende et la saisie de sa maison. Arthur éclate en
sanglots : il comprend qu’il va tout perdre.
Le juge, 65 ans, connu pour être dur, s’interrompt en le voyant se
couvrir le visage. Silence total. Il annonce une pause de 15
minutes et quitte la salle. Quand il revient, son ton a changé : il
explique qu’il a passé le temps de la pause au téléphone avec le
VFW local et un fonds pour anciens combattants. Toutes les
amendes sont annulées.
Mieux encore : un syndicat d’entrepreneurs s’est engagé à réparer
entièrement la maison d’Arthur gratuitement. Le vieil homme se met
à pleurer de soulagement. Alors le juge descend de son estrade,
s’approche et le prend dans ses bras.
Arthur lui murmure, la voix brisée :
« Je ne pensais plus que quelqu’un se souciait de moi… »
Et le juge lui répond :
« On s’en soucie. Moi, je m’en soucie. Vous avez servi votre pays. On n’oublie pas ça. »


