José Gaudet dit enfin pourquoi son histoire avec Véronique Cloutier s’est terminée
De passage au micro du balado Oublie pas ta brosse à dents, José Gaudet a pris un moment pour revisiter un souvenir marquant de sa vie personnelle. Avec ouverture, il est revenu sur la relation qu’il a déjà entretenue avec Véronique Cloutier, un épisode qui a laissé sa trace dans son parcours.
Guidé par Alexandre Barrette, maître d’œuvre de ce balado axé sur les histoires d’amour et les séparations, José Gaudet a accepté de se livrer avec une sincérité peu habituelle. Bien que le sujet ait déjà été abordé par le passé, cette conversation s’est démarquée par la lucidité et la distance émotionnelle avec lesquelles il en a parlé.
Il dresse le portrait d’une relation vécue à pleine vitesse. À l’époque, ils étaient jeunes, portés par l’élan de leurs débuts professionnels et par un sentiment amoureux aussi fort que spontané. José évoque une relation vibrante, nourrie par une grande complicité et une énergie commune, mais où certaines différences profondes ont fini par émerger. Sous l’intensité et l’enthousiasme se profilaient des attentes qui ne se rejoignaient pas toujours, laissant place, avec le temps, à des déséquilibres difficiles à ignorer.
À ce moment-là, Véronique voyait déjà la suite du parcours avec une grande clarté : une relation solidement ancrée, des projets de vie bien définis et un désir de stabilité. José, de son côté, avançait avec plus de retenue. Ce n’était pas l’affection qui manquait, précise-t-il, mais plutôt le sentiment de ne pas être prêt à s’engager aussi vite dans un avenir aussi structuré. Avec humour, il se souvient même avoir adopté un chien, une façon légère de détourner les discussions trop insistantes sur la parentalité.
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Il aborde ensuite le poids de la pression qu’il ressentait, une pression amplifiée par l’ascension spectaculaire de Véronique. Pendant qu’elle s’imposait rapidement comme une figure majeure du milieu médiatique, José travaillait encore à se tailler une place, à gagner la reconnaissance du public. Cette différence de rythme professionnel, explique-t-il, a graduellement créé un fossé entre eux, les menant à emprunter des trajectoires de plus en plus distinctes.
Avec le temps, José Gaudet ne cherche pas à réécrire l’histoire. Il reconnaît ouvertement avoir été à l’origine de la rupture, une décision qu’il qualifie aujourd’hui de lourde, mais nécessaire. Sans détour, il explique qu’il ne se sentait pas en mesure de suivre le rythme et les aspirations de Véronique, et que cette pression constante finissait par devenir étouffante. Le fait que Véronique ait déjà abordé publiquement cette séparation lui permet désormais d’en parler avec davantage de liberté et de sérénité.
Ce qui marque surtout dans son témoignage, c’est l’entente qu’ils ont conclue au moment de se dire adieu. Même au cœur de la peine et des désillusions, ils ont choisi de préserver la dignité de leur histoire. Aucun reproche, aucun mot amer : seulement la volonté de respecter ce qu’ils avaient vécu ensemble et de conserver intact le souvenir de cet amour fondateur. Un accord moral que José affirme avoir honoré avec rigueur — et qu’il reconnaît chez Véronique avec la même constance.
