
Ce qui devait être une belle publication des Fêtes a finalement tourné à la controverse pour la ministre Geneviève Guilbault.
Alors qu’elle souhaitait mettre en lumière une belle initiative communautaire dans sa circonscription de Louis-Hébert, c’est un simple chandail de Noël qui a volé toute l’attention… et déclenché une vague de commentaires peu enthousiastes sur les réseaux sociaux.
🎁 Une guignolée qui partait pourtant d’un bon sentiment
Vendredi, la députée de la CAQ a partagé des photos de la guignolée annuelle qu’elle organise depuis maintenant 7 ans. Un événement destiné à venir en aide aux familles dans le besoin, avec la participation des citoyens et entreprises du coin.
Sur sa page Facebook, elle écrivait :
« Guignolée de la députée hier, chez nous dans Louis-Hébert, que j’organise depuis 7 ans pour aider nos familles, avec le généreux soutien de nos entreprises et citoyens. Nous accueillons les denrées non périssables jusqu’à mardi 16 h 30 à notre bureau de Cap-Rouge. »
👕 Mais c’est son chandail qui vole la vedette…


Sur les photos, Geneviève Guilbault pose avec le sourire, arborant un chandail de Noël à message humoristique. Jusqu’ici, tout semble dans l’esprit des Fêtes… sauf que l’inscription est en anglais :
“Are you naughty or nice?”
(Traduction : Es-tu vilain ou sage ?)
Et c’est précisément ce détail qui a déclenché la tempête.
💬 Une pluie de commentaires sur Facebook
Les réactions n’ont pas tardé à fuser. Plusieurs internautes ont laissé des commentaires dénonçant le choix d’un chandail en anglais, venant d’une ministre québécoise.
Voici quelques exemples relevés sous la publication :
- « En anglais… Vraiment ? »
- « Gilet en français… ????? »
- « Chandail en français SVP »
- « En anglais ? Hum… »
Bien que certains défendent le ton léger de la publication, la majorité semble dérangée par le message unilingue anglais porté par une élue dans un contexte aussi symbolique que la guignolée.
🤔 Un faux pas symbolique pour la CAQ ?
Avec un parti en baisse dans les sondages et des débats persistants sur la place du français au Québec, cette petite controverse tombe à un mauvais moment pour la Coalition Avenir Québec.
Même si le geste semble anodin à première vue, les attentes envers les élus sont élevées, surtout quand il est question d’identité linguistique.
📌 Conclusion


Ce qui devait être une publication festive et positive s’est transformé en une leçon sur la sensibilité linguistique au Québec. Geneviève Guilbault, malgré ses bonnes intentions, a sans doute appris que chaque détail compte, surtout en période de Fêtes… et surtout lorsqu’on est sous l’œil critique du public.


