
Une nouvelle poursuite judiciaire
impliquant Denis Coderre fait actuellement beaucoup
réagir.
L’ex-maire de Montréal et ex-ministre fédéral est poursuivi en Cour
supérieure par son ex-femme, Chantale Renaud, pour le non-respect d’engagements
financiers pris dans le cadre de leur divorce.
La requête a été déposée au palais de justice de Montréal. Elle vise à contraindre Denis Coderre à respecter une entente écrite conclue lors du règlement de leur séparation.
Le couple s’était marié en 1988 et s’est séparé à l’automne 2018, après 30 ans de vie commune. Le divorce, lui, n’a été officialisé que plusieurs années plus tard, à la suite d’une conférence de règlement à l’amiable.
Au cœur du litige se trouve une marge de crédit hypothécaire associée à leur ancienne résidence familiale. Selon l’entente signée en août 2024, Denis Coderre s’était engagé à assumer seul le solde complet de cette marge, qui s’élevait à près de 259 000 $.
Finalement, les choses ne se
sont pas déroulées comme prévu.
En raison de dettes
fiscales importantes de Denis Coderre, Revenu Québec a
exercé son droit de créance prioritaire sur la propriété, empêchant
l’entente entre les ex-conjoints d’avoir préséance.
Résultat : Chantale Renaud
affirme avoir perdu 129
479,80 $, soit la moitié de la marge de crédit que son
ex-mari devait prendre en charge.
À cela s’ajoutent 35 000
$ réclamés pour le remboursement de ses frais
judiciaires.
Dans sa poursuite, elle
demande donc à la Cour de condamner Denis Coderre à lui verser un
total de 164 479,80
$, plus les intérêts.
Elle soutient avoir tenté à plusieurs reprises d’en arriver à une
solution négociée, sans succès.
« Ce n’est ni par vengeance ni pour me poser en victime (…) C’est une question de principe. On ne peut pas décider de changer les règles après coup. »
Dans les documents judiciaires, il est allégué que Denis Coderre aurait évité de remplir ses obligations, malgré l’entente conclue. La poursuite affirme que cette situation a entraîné un appauvrissement important pour la demanderesse.
La résidence familiale a finalement été vendue le 31 octobre dernier pour 650 000 $, un montant inférieur aux attentes initiales. Elle était grevée de plusieurs hypothèques légales, totalisant plus de 450 000 $, en plus de la marge de crédit.
Joint par les médias, Denis Coderre a refusé de commenter le dossier. Il s’est contenté de dire qu’il méritait « un break ».
L’affaire sera maintenant tranchée par les tribunaux. D’ici là, ce dossier rappelle à quel point les conséquences financières d’un divorce peuvent demeurer lourdes… même plusieurs années après la séparation.
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