À Chanteurs masqués, Claude Poirier croit avoir mis sa santé en péril


Claude Poirier a été le premier à être démasqué cette saison à Chanteurs masqués. Sous le costume de Buck le bûcheron, le célèbre journaliste avait surpris le public en acceptant de participer à la populaire émission dominicale.
Après son élimination, il avait toutefois confié ne pas avoir particulièrement apprécié l’expérience, avouant même être soulagé d’avoir quitté l’aventure. Toujours franc et sans détour, Claude Poirier n’a pas hésité à dire qu’il s’était senti un peu « hors de son élément ».
Ce mercredi soir, il sera de passage à Dans les médias sur les ondes de Télé-Québec, où il reviendra une fois de plus sur son expérience à Chanteurs masqués. L’occasion pour lui d’offrir un regard lucide — et sans doute teinté d’humour — sur cette aventure télévisuelle inhabituelle.
Ce mercredi soir, Claude Poirier sera de passage à l’émission Dans les médias, où il s’entretiendra avec Marie-Louise Arsenault. L’occasion pour le célèbre journaliste de revenir une nouvelle fois sur son passage remarqué — et manifestement peu apprécié — à Chanteurs masqués.
Dans un extrait déjà largement partagé sur les réseaux sociaux, on découvre un Claude Poirier toujours aussi franc, qui admet ne pas avoir digéré son expérience dans le costume de Buck le bûcheron. Fidèle à son style direct, il va même jusqu’à révéler combien il a été rémunéré pour sa participation à l’émission.
Alors qu’il s’apprête à évoquer ce qu’il retient de son passage, l’animatrice Marie-Louise Arsenault l’interrompt en lançant : « C’est quand même payant, Claude ! » Ce à quoi Poirier réplique du tac au tac : « C’est pas payant pentoute ! »
Une séquence qui promet de faire sourire les téléspectateurs, tout en rappelant que Claude Poirier, même sous un masque, reste fidèle à sa réputation : franc, authentique et sans filtre.
L’entrevue de Claude Poirier à Dans les médias promet décidément de faire réagir. Poursuivant sa discussion avec Marie-Louise Arsenault, l’animatrice lui rappelle que sa participation à Chanteurs masqués lui a tout de même rapporté 3 500 $. Ce à quoi le célèbre « négociateur » réplique, sans détour : « 3 000 $ pour une semaine paralysée ! »
Avec son franc-parler habituel, Claude Poirier ne mâche pas ses mots. Il déplore que, selon lui, 90 % des participants à l’émission soient des chanteurs professionnels qui gagnent toujours, tandis que les autres, comme lui, servent plutôt de « cobayes ».
Il ajoute s’être senti piégé dans cette aventure, expliquant qu’il n’aurait probablement pas accepté s’il n’avait pas déjà donné sa parole. « J’avais dit oui, alors je ne pouvais plus reculer », confie-t-il.
L’ancien négociateur souligne également que la majorité des artistes approchés pour Chanteurs masqués sont en fait contactés par leurs agents, attirés par la visibilité qu’offre l’émission du dimanche soir — la plus regardée au Canada.
Une déclaration franche et teintée d’ironie, fidèle au style de Claude Poirier, qui continue de faire parler de lui même après avoir quitté le costume de Buck le bûcheron.
Vous pouvez visionner un extrait de l’émission Dans les médias dans lequel Claude Poirier revient, avec son franc-parler habituel, sur son expérience à Chanteurs masqués. Dans cette séquence, il partage sans détour ses impressions et livre quelques confidences surprenantes sur les coulisses de sa participation. Découvrez la vidéo ci-dessous :
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Quoi qu’il en soit, le succès de Chanteurs masqués demeure indéniable. L’émission continue de captiver le public chaque saison, malgré les défis que certains participants peuvent rencontrer. On peut facilement comprendre que Claude Poirier ait trouvé l’expérience éprouvante : à son âge, enfiler un costume d’orignal, particulièrement lourd et chaud, n’avait rien d’une mince affaire.
La production a d’ailleurs confirmé qu’il s’agissait de la tête de costume la plus imposante et la plus lourde de cette cinquième saison. Un détail qui explique sans doute pourquoi le célèbre « négociateur » garde un souvenir plutôt intense — et pas forcément reposant — de son passage sous le masque de Buck le bûcheron.