Alex Perron révèle qu’un voleur est probablement tombé sur un accessoire vraiment absurde

 

Le mystère plane toujours et le voleur court encore, mais Alex Perron, fidèle à lui-même, choisit d’en rire. Plus d’un mois après le vol inusité des costumes de la pièce La cage aux folles, le comédien confirme ce que plusieurs redoutaient : les pièces originales ne seront jamais retrouvées.

Les faits remontent au 27 mars dernier, alors que les costumes étaient en transit dans un véhicule entre deux représentations. La production, qui met en vedette Alex Perron, Marcel Leboeuf et Geneviève Brouillette, a perdu des costumes d’une valeur estimée à près de 20 000 $.

« On ne les retrouvera pas, c’est sûr », a déclaré Alex Perron à HollywoodPQ, visiblement résigné.

Heureusement, les représentations reprendront en septembre, laissant à l’équipe le temps de recréer les tenues flamboyantes qui font le charme de la pièce.

Bien qu’il déplore la perte, Alex Perron conserve son sens de l’humour bien aiguisé. Dans une déclaration qui a fait sourire bien des lecteurs, il imagine la réaction du voleur découvrant le contenu très particulier du butin :

« J’aurais voulu voir la face du voleur quand il a pris ma gaine beige avec des faux seins, des fausses hanches et des fausses fesses! Peut-être qu’il la porte en ce moment. »

Une image aussi hilarante qu’incongrue qui rend cette affaire de vol unique en son genre.

En attendant la rentrée de La cage aux folles, Alex Perron n’a pas le temps de s’ennuyer. Il prépare actuellement la pièce estivale Mécanique Raymond, présentée au Théâtre des Hirondelles. Il y incarne l’un des enfants d’un garagiste dans une comédie familiale chaleureuse, mise en scène par Stéphan Allard.

Et ce n’est pas tout : il sera également de retour à l’émission C’est juste de la TV dès septembre pour une cinquième saison comme panéliste sur ICI ARTV.

« Le théâtre d’été, c’est du monde en vacances qui vient te voir… On ne peut pas demander mieux! »

Entre autodérision, humour et projets multiples, Alex Perron prouve qu’il sait transformer une mésaventure en anecdote savoureuse, et que même un vol loufoque ne peut lui voler sa bonne humeur.