Andrew Tate aurait menacé Hélène Boudreau de désactiver son compte Instagram


Voilà une histoire inattendue qui agite les réseaux sociaux : Hélène Boudreau, surnommée « la Fille de l’UQAM », affirme qu’Andrew Tate — controversé influenceur masculiniste — ou son équipe l’aurait menacée de faire supprimer son compte Instagram.
Tout a commencé vendredi dernier, lorsqu’Hélène a publié en story une courte vidéo égoportrait dans laquelle on apercevait Andrew Tate en arrière-plan.
On ignore s’il s’agissait d’un hasard ou s’ils se fréquentaient, mais la vidéo n’a pas manqué de faire réagir les internautes, intrigués par cette rencontre improbable.
Quelques jours plus tard, rebondissement : dans un TikTok mis en ligne jeudi matin, Hélène raconte que l’équipe de Tate l’a contactée en lui ordonnant de retirer la vidéo. En cas de refus, ils auraient menacé de faire supprimer son compte Instagram.
« Ils m’ont dit « you delete it or we delete your Instagram » », résume-t-elle, mi-amusée, mi-incrédule. Elle souligne d’ailleurs ne pas comprendre comment Tate pourrait avoir ce pouvoir, se moquant ouvertement de la menace.
La fameuse vidéo, initialement publiée en Reel, a depuis disparu.
La situation soulève plusieurs questions : s’agissait-il d’un simple croisement fortuit ou y a-t-il eu un échange plus significatif entre les deux personnalités publiques? Quoi qu’il en soit, l’affaire a généré un flot de réactions en ligne.
@heleneboudreau2.0Elle vas même jusqu’à parler en mal de sa propre famille mais bon je dois être la méchante 🦹🏻♀️ pourtant on fait le même métier .. vivre et laisser vivre.♬ original sound – ✿
Dans les commentaires, plusieurs internautes prennent la défense d’Hélène, dénonçant un comportement qu’ils jugent intimidant. D’autres, au contraire, mettent en doute la véracité de ses affirmations, demandant plus de preuves.
Hélène Boudreau n’en est pas à sa première controverse, mais cette fois, elle semble déterminée à ne pas se laisser intimider — même par une figure aussi influente (et polarisante) qu’Andrew Tate. L’histoire reste à suivre…