Anick Dumontet exprime son inconfort dans Si on s’aimait Célébrités
Connue pour sa carrière d’animatrice et sa présence rayonnante à la télévision québécoise, Anick Dumontet a surpris bien des gens en acceptant de participer à l’émission Si on s’aimait célébrités. Mais derrière cette décision se cache un inconfort bien réel.
Dans une récente entrevue, Anick a admis qu’elle « n’est pas du tout à l’aise » avec l’idée de se livrer devant les caméras dans un contexte aussi intime. Habituée à tenir le rôle de l’animatrice plutôt que celui de la personne observée, elle découvre une toute autre dynamique, où la vulnérabilité prend le devant de la scène.
Se dévoiler devant les caméras n’a jamais été un exercice facile, même pour une animatrice aguerrie comme Anick Dumontet. Et pourtant, elle a choisi de plonger tête première dans l’inconnu en acceptant de participer à la nouvelle saison de Si on s’aimait célébrités.
« En disant oui, je savais que je me lançais dans l’inconnu, mais je me suis quand même dit : “let’s go!” parce que le dating, c’est difficile pour tout le monde », a-t-elle confié à l’Agence QMI. À 53 ans, l’idée de retourner dans le monde des rencontres, notamment via les applications, ne lui faisait pas envie. C’est plutôt vers une démarche authentique et encadrée qu’elle a choisi de se tourner.
Dans ce contexte, Anick dit s’être « abonnée au lâcher-prise », acceptant de se montrer vulnérable, imparfaite, mais vraie. Un cheminement personnel qu’elle assume avec sincérité, dans l’espoir que son expérience résonnera avec d’autres personnes qui, comme elle, trouvent que l’amour à l’âge adulte est tout sauf simple.
Participer à Si on s’aimait célébrités n’a pas été une décision prise à la légère pour Anick Dumontet. Dans un témoignage empreint d’authenticité, l’animatrice a admis avoir longtemps hésité avant de se lancer dans cette aventure humaine et télévisuelle.
« J’ai hésité, c’est sûr. Je ne dis pas que j’ai dit oui sans aucune crainte, sans aucun doute ou sans aucune angoisse, mais j’aime Louise et je l’ai écoutée », a-t-elle confié, en référence à la populaire coach relationnelle Louise Sigouin. C’est cette relation de confiance qui a finalement pesé dans la balance.
Pour Anick, le plus grand défi ne réside pas dans l’expérience elle-même, mais dans ce qu’elle implique : se mettre à nu, parler de ses blessures, de ses vulnérabilités… et le faire devant tout le Québec. Une démarche courageuse, qui exige du recul, du courage et un immense « lâcher-prise ».
Source: 7 Jours
