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Après Si on s’aimait Célébrités, Sophie Bourgeois offre ses excuses à sa mère
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Après Si on s’aimait Célébrités, Sophie Bourgeois offre ses excuses à sa mère

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Juste avant de rejoindre l’aventure de Si on s’aimait Célébrités, Sophie Bourgeois s’est lancée un défi de taille : ériger de ses propres mains sa maison dans les Laurentides. Pensé pour le bien-être de Tomi et Charlie, ce refuge flambant neuf est devenu le cadre d’un accueil tout en douceur ; c’est là qu’elle nous a reçus, aux côtés de sa fille Charlie. Leur complicité y est palpable : un lien mère-fille empreint de tendresse et de joie, véritable source de bonheur quotidien.

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Ce qui m’a finalement décidée

de rejoindre l’aventure de Si on s’aimait Célébrités., c’est la foi inébranlable de mes proches. À peine la proposition reçue, j’ai composé le numéro de Frédéric Pierre, mon ex et père de nos enfants. Lui, avec son esprit cartésien, m’a tout de suite encouragée : « Vas-y, fonce ! » Son soutien sans réserve m’a profondément touchée.

Quelques instants plus tard, Charlie et Tomi m’ont à leur tour assurée de leur confiance : « Maman, fais-toi confiance ! » Leurs mots m’ont réchauffé le cœur et m’ont donné le coup de pouce dont j’avais besoin, après avoir tergiversé pendant trois mois.

C’est grâce à cet élan collectif, au mélange de raison et d’émotion qui m’anime, que j’ai finalement accepté de rejoindre l’aventure de Si on s’aimait Célébrités.

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Le gros moment fort pour Sophie c’est lors d’un échange sur mon perfectionnisme, Louise m’a fait prendre conscience qu’il naît souvent de la honte. J’ai compris que je devais d’abord apprendre à m’accorder davantage de confiance — que ce besoin de tout maîtriser venait en réalité d’une ancienne blessure. Cette prise de conscience a été un véritable déclic.

Après l’émission, j’ai retrouvé le courage de demander pardon à ma mère pour la gêne que j’avais éprouvée enfant face à notre vieille voiture, à notre condo orange et à nos difficultés financières. J’aurais dû être fière d’elle : en tant que maman seule, elle nous a toujours offert bien plus que le strict nécessaire. Nous mangions chaud, nous étions bien habillés ; elle faisait toujours de son mieux.

Enfant, ces sentiments m’étaient pardonnables, mais les reconnaître et les exprimer a été libérateur. Heureusement, avant que la maladie ne l’emporte, j’ai pu lui dire combien j’étais désolée et lui témoigner toute ma reconnaissance.

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