
Mario Pelchat, figure emblématique de la chanson québécoise, se retrouve une fois de plus au cœur d’une controverse, mais cette fois loin des projecteurs de la scène.
Son vignoble, le Domaine Pelchat Lemaître-Auger, qu’il exploite avec sa conjointe Claire Lemaître-Auger à Saint-Joseph-du-Lac, est dans la mire de l’Union des producteurs agricoles (UPA), qui réclame l’intervention du gouvernement pour faire cesser les spectacles qui y sont présentés.
Selon l’UPA, ces événements culturels contreviendraient aux règles de la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) et risqueraient de créer un précédent problématique pour l’avenir de la vocation agricole.
Mario Pelchat ne compte pas se laisser faire. Dans une sortie publique chargée d’émotion, il défend bec et ongles son projet, affirmant qu’il s’agit d’un exemple d’agriculture moderne où l’agrotourisme ne vient pas nuire à la production, mais plutôt la valoriser.
Depuis 2007, il a redonné vie à une terre laissée à l’abandon en y plantant plus de 40 000 vignes. Son domaine produit aujourd’hui plus de 50 000 bouteilles de vin par an, avec un objectif de doubler cette production d’ici peu.
Pour lui, les spectacles tenus sur le site ne sont pas un simple divertissement, mais une façon de reconnecter les Québécois à la terre et aux produits d’ici.
Le chanteur invite d’ailleurs les membres de l’UPA à venir constater eux-mêmes la nature du travail accompli et à rencontrer les employés qui font vivre ce projet.
À travers ce bras de fer, Mario Pelchat soulève une question cruciale : et si l’avenir de l’agriculture passait aussi par l’ouverture à la culture?
Une chose est sûre : cette affaire ne laisse personne indifférent, et elle remet en lumière les défis d’un Québec en transformation, où la tradition doit composer avec l’innovation.

Elle apporte une touche de profondeur et de sensibilité à l'univers des potins de stars. À travers ses mots envoûtants, Elle explore les émotions et les vérités cachées derrière les visages célèbres. Son blog offre une pause bienvenue dans le tourbillon des ragots, invitant les lecteurs à réfléchir et à ressentir au-delà des apparences.