Cette jeune femme affirme qu’un homme doit débourser 15 000 ( 10 000 euros) $ par mois pour elle

assume sans détour un
train de vie qu’elle chiffre elle-même à 10 000 euros par mois,
soit environ 15 000 $. Elle l’affirme publiquement et détaille
précisément ce que ce montant représente.
Chaque mois, elle s’attend à ce qu’un partenaire prenne en charge l’ensemble de ses dépenses personnelles : séances de magasinage, soins esthétiques, ongles, extensions capillaires, épilation, sorties au restaurant et manucures régulières. Selon ses propres calculs, additionner ces habitudes mène rapidement à une facture mensuelle avoisinant les 15 000 $, un coût qu’elle considère non négociable.
Une jeune femme fait vivement réagir après avoir déclaré que, dans une relation amoureuse, son « coût mensuel » s’élève à 15 000 $. Elle avance ce chiffre sans détour et en donne une justification très détaillée. Selon elle, un partenaire doit assumer toutes ses dépenses courantes : vêtements, soins esthétiques, ongles, extensions capillaires, épilation, sorties au restaurant et divers plaisirs du quotidien. Une addition rapide, dit-elle, mène facilement à l’équivalent de 10 000 euros par mois.
La question qui surgit immédiatement est simple : de son côté, que fait-elle de son propre argent ? Sa réponse est tout aussi directe. Elle explique qu’elle n’y touche pas pour les dépenses courantes : elle le conserve et l’investit. Autrement dit, l’homme paie l’ensemble de son mode de vie, tout en contribuant indirectement à faire fructifier l’argent qu’elle met de côté.
Selon sa logique, ce fonctionnement serait parfaitement normal. Elle estime que si son partenaire gagne très bien sa vie, il tirerait même une certaine satisfaction à subvenir à tous ses besoins. Un raisonnement qui alimente évidemment les débats et ne laisse personne indifférent.


