Christian Bégin dit adieu à ce projet

Après des années d’implication passionnée, Christian Bégin a pris la difficile décision de se retirer d’un projet qui l’animait profondément. Ce choix, mûrement réfléchi, marque la fin d’un chapitre important de sa carrière, mais aussi le début d’une nouvelle phase, empreinte de renouveau et de recentrage personnel. Fidèle à lui-même, l’artiste a exprimé sa gratitude envers tous ceux qui l’ont soutenu tout au long de cette aventure, affirmant que, malgré la nostalgie, il part le cœur en paix.

C’est avec émotion que Christian Bégin a annoncé sur ses réseaux sociaux qu’il quittait officiellement l’épicerie fine qu’il avait cofondée à Kamouraska. Ce lieu, qui portait une grande signification pour lui, symbolisait bien plus qu’un simple commerce : c’était un projet de cœur, enraciné dans sa passion pour la gastronomie locale et le terroir québécois. Dans sa publication, il a tenu à remercier ceux qui l’ont accompagné dans cette aventure, tout en exprimant sa fierté du chemin parcouru. Une page se tourne, mais son amour pour Kamouraska, lui, reste intact.

Le Jardin du Bedeau, cette épicerie fine nichée à Kamouraska, ne sera plus tout à fait la même. Christian Bégin a annoncé qu’il se retirait officiellement du projet, qu’il avait bâti avec passion aux côtés de la cheffe Marie-Fleur Saint-Pierre.

Pour Christian Bégin, Le Jardin du Bedeau n’était pas qu’une simple épicerie fine : c’était un prolongement naturel de sa passion pour la gastronomie. Ce lieu représentait pour lui une manière tangible de rester connecté à un univers qui l’a toujours habité et inspiré. Son départ, annoncé avec sincérité sur ses réseaux sociaux, marque donc bien plus qu’un changement d’adresse professionnelle — il symbolise la fin d’un cycle, à la croisée du personnel et du professionnel. Une décision chargée d’émotion, qui laisse entrevoir un moment de transition et, peut-être, l’émergence de nouveaux horizons.

S’il tourne la page sur cette aventure bien particulière, rien n’indique qu’il ralentit pour autant. Très présent dans d’autres sphères artistiques et médiatiques, il semble plutôt amorcer un recentrage, guidé par de nouvelles priorités ou inspirations. Ce retrait n’est donc pas un adieu, mais simplement une réorientation — fidèle à sa nature créative et à son besoin constant de se renouveler.