La cinquième saison de Chanteurs masqués démarre en force et promet déjà son lot de rebondissements. L’une des surprises les plus marquantes s’est d’ailleurs produite dès le tout premier dévoilement, captivant immédiatement les téléspectateurs.
Derrière le costume de Buck le Bûcheron se cachait nul autre que le chroniqueur judiciaire Claude Poirier. Une révélation qui a créé la surprise générale, autant chez les enquêteurs que chez les téléspectateurs, puisqu’on s’attend rarement à voir une personnalité de ce milieu plonger dans une compétition musicale aussi flamboyante.
Claude Poirier a d’ailleurs avoué qu’il n’avait pas cru à l’invitation lorsqu’il a reçu le tout premier appel de la production. Convaincu qu’il s’agissait d’une erreur, il avait même tenté de leur signaler qu’ils s’étaient trompés de personne!
Ce n’est qu’après avoir échangé directement avec le producteur que Claude Poirier a compris que l’invitation était bel et bien sérieuse. Après mûre réflexion, il a finalement accepté de se lancer dans l’aventure, tout en admettant qu’il se demande encore aujourd’hui ce qui l’a poussé à dire oui.
La participation de Claude Poirier à Chanteurs masqués n’a pas été de tout repos. À peine deux mois avant le début du tournage, il a été victime d’un infarctus qui l’a contraint à passer plusieurs jours à l’hôpital. Avec le recul, il reconnaît que si son cardiologue avait été consulté avant sa décision, il lui aurait sans doute déconseillé de se lancer dans une aventure aussi exigeante.
Malgré la bonne humeur et le grand professionnalisme de l’équipe de Chanteurs masqués, Claude Poirier avoue que son véritable plaisir a commencé… au moment de son élimination! Avec humour, il a même comparé cette expérience à certaines négociations de crise de sa carrière, affirmant en riant qu’il avait préféré gérer une prise d’otage plutôt que de chanter devant des millions de téléspectateurs.
Le seul aspect qui l’a un peu moins séduit? Le choix de chanson imposé. Lui qui aurait aimé interpréter des classiques de Charles Trenet ou Gilbert Bécaud s’est finalement vu attribuer Le bon gars de *Richard Desjardins.
