Des téléspectateurs critiquent sévèrement la série Dumas pour une raison précise
Lundi soir, la diffusion du deuxième épisode de la série Dumas sur ICI TÉLÉ a suscité de vives réactions, notamment concernant la rapidité de la récupération du personnage principal après une tentative d’assassinat. Voici les détails.
La série Dumas, créée par Luc Dionne, met en scène le personnage de Jean Dumas, interprété par Gildor Roy, qui survit à une tentative d’assassinat et se trouve confronté à divers défis personnels et professionnels.
Malgré une distribution étoilée incluant Isabel Richer et Vincent Leclerc, et des performances louées par la critique, un détail du scénario a provoqué l’ire de certains téléspectateurs.
Le point de discorde principal réside dans la rapide convalescence de Jean Dumas, qui, malgré les six balles reçues, se retrouve debout et fonctionnel extrêmement rapidement. Cette incohérence perçue a été largement commentée sur les réseaux sociaux, où des fans ont exprimé leur scepticisme.
Un utilisateur de Facebook, Steeve, a commenté : « Le gars reçoit 6 balles et est déjà debout, la semaine suivante trop drôle les séries québécoises », soulignant un manque de réalisme qui lui a semblé comique. Suzanne, une autre utilisatrice, renchérit en disant :
« c’est totalement ridicule, ce bout là manque de crédibilité. »
Ces critiques soulèvent une question plus large sur l’équilibre entre réalisme et fiction dramatique dans les séries télévisées.
Bien que certaines suspensions d’incrédulité soient nécessaires pour le format, quand les spectateurs trouvent une série trop éloignée de la réalité, cela peut briser l’immersion et réduire l’engagement.
En dépit de ces critiques, la série Dumas continue de recevoir des éloges pour sa narration et sa production. Le débat reste ouvert sur la manière dont les séries devraient jongler avec les attentes de réalisme de leur audience.
Ne ratez pas le troisième épisode de Dumas, promettant encore plus de rebondissements, le lundi prochain à 20 h sur ICI TÉLÉ.
Source : Mondedestars