Elle fréquentait un comédien… et avoue en avoir embrassé un autre !

« J’en ai frenché deux des trois. »
Voilà la phrase qui a fait éclater de rire le plateau lors du
passage de Marie-Chantal Perron à l’émission
Le beau dimanche de Jeannot, animée par
Jean-Sébastien Girard, maître incontesté des
bien-cuits chaleureux… mais légèrement piquants.
Dès le début de l’entrevue, Girard révèle que la comédienne
porte un surprenant surnom : Minou.
Elle raconte que c’est Roy Dupuis qui lui a donné
ce petit nom il y a longtemps :
« Je ne sais pas trop… Il devait trouver que j’avais l’air d’un petit chat de gouttière. Une fois, il m’a dit qu’il m’appelait Minou parce que je retombe toujours sur mes pattes. »
Michelle Desrochers, invitée pour l’occasion, n’a pas pu s’empêcher de renchérir :
« Si Roy me donnait un surnom, même poubelle, je serais comme : oui, monsieur Roy! »
Jean-Sébastien souligne ensuite que Marie-Chantal et Roy sont «
plutôt différents ».
Elle en convient, mais précise :
« Ça fait plus de 30 ans qu’on est amis… C’est mon frère, je suis sa petite sœur. »
Une relation sincère, forte, et parfois surprenante — la preuve que les plus belles amitiés ne suivent aucune logique.
Vient ensuite le moment tant attendu : le jeu “Marier,
frencher, tuer”.
Girard lui demande de classer trois amis proches : Claude
Legault, Roy Dupuis et David La
Haye.
Marie-Chantal lâche alors la bombe :
« Je n’ai pas frenché les trois. J’en ai frenché deux des trois. »
L’animateur, évidemment curieux :
« Lequel tu n’as pas frenché? »
Elle répond sans détour :
« Je n’ai pas frenché Roy. Je n’ai jamais touché à la langue de Roy Dupuis. »
Ce qui n’a pas empêché l’actrice de choisir de marier Roy, de frencher Claude, et de “tuer” David La Haye, en plaisantant qu’il « est distrait et va se faire frapper de toute façon ».
La comédienne révèle ensuite, avec douceur et nostalgie :
« On s’est fréquentés, Claude et moi, à une certaine époque. On était jeunes, des bébés. »
De quoi faire sourire tous ceux qui ignoraient cette petite idylle du passé.
En parallèle, on a récemment pu revoir Roy
Dupuis dans le documentaire Les filles de Caleb :
L’histoire d’une passion, animé par Marina
Orsini.
L’acteur, habituellement réservé, y aborde avec vulnérabilité :
- la pression médiatique qu’il vivait à l’époque,
- les impacts sur sa santé mentale,
- et même sa relation compliquée avec l’alcool.
Un rare moment d’ouverture de la part d’un comédien aussi discret.


