Tribune Tendance
En cours de lecture
Elle fréquentait un comédien… et avoue en avoir embrassé un autre !
Tribune Tendance
Tribune Tendance

Elle fréquentait un comédien… et avoue en avoir embrassé un autre !

Avatar photo
Capture decran 2025 12 12 142916 e1765568103586 Elle fréquentait un comédien… et avoue en avoir embrassé un autre !

« J’en ai frenché deux des trois. »
Voilà la phrase qui a fait éclater de rire le plateau lors du passage de Marie-Chantal Perron à l’émission Le beau dimanche de Jeannot, animée par Jean-Sébastien Girard, maître incontesté des bien-cuits chaleureux… mais légèrement piquants.

Dès le début de l’entrevue, Girard révèle que la comédienne porte un surprenant surnom : Minou.
Elle raconte que c’est Roy Dupuis qui lui a donné ce petit nom il y a longtemps :

« Je ne sais pas trop… Il devait trouver que j’avais l’air d’un petit chat de gouttière. Une fois, il m’a dit qu’il m’appelait Minou parce que je retombe toujours sur mes pattes. »

Michelle Desrochers, invitée pour l’occasion, n’a pas pu s’empêcher de renchérir :

« Si Roy me donnait un surnom, même poubelle, je serais comme : oui, monsieur Roy! »

Jean-Sébastien souligne ensuite que Marie-Chantal et Roy sont « plutôt différents ».
Elle en convient, mais précise :

« Ça fait plus de 30 ans qu’on est amis… C’est mon frère, je suis sa petite sœur. »

Une relation sincère, forte, et parfois surprenante — la preuve que les plus belles amitiés ne suivent aucune logique.

Vient ensuite le moment tant attendu : le jeu “Marier, frencher, tuer”.
Girard lui demande de classer trois amis proches : Claude Legault, Roy Dupuis et David La Haye.

Marie-Chantal lâche alors la bombe :

« Je n’ai pas frenché les trois. J’en ai frenché deux des trois. »

L’animateur, évidemment curieux :
« Lequel tu n’as pas frenché? »

Elle répond sans détour :

« Je n’ai pas frenché Roy. Je n’ai jamais touché à la langue de Roy Dupuis. »

Ce qui n’a pas empêché l’actrice de choisir de marier Roy, de frencher Claude, et de “tuer” David La Haye, en plaisantant qu’il « est distrait et va se faire frapper de toute façon ».

La comédienne révèle ensuite, avec douceur et nostalgie :

« On s’est fréquentés, Claude et moi, à une certaine époque. On était jeunes, des bébés. »

De quoi faire sourire tous ceux qui ignoraient cette petite idylle du passé.

 

Afficher cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par ICI TÉLÉ (@icirctele)

En parallèle, on a récemment pu revoir Roy Dupuis dans le documentaire Les filles de Caleb : L’histoire d’une passion, animé par Marina Orsini.
L’acteur, habituellement réservé, y aborde avec vulnérabilité :

  • la pression médiatique qu’il vivait à l’époque,
  • les impacts sur sa santé mentale,
  • et même sa relation compliquée avec l’alcool.

Un rare moment d’ouverture de la part d’un comédien aussi discret.

 

Défiler vers le haut