Émile Proulx-Cloutier dévoile un final touchant et inattendu d’Avant le crash

Avant le crash : la série qui a bouleversé nos cœurs tire sa révérence
Depuis plusieurs semaines, l’effervescence monte autour de la fin tant attendue d’**Avant le crash**, ce phénomène télévisuel qui a su captiver le public québécois. À l’aube de la diffusion du dernier épisode, l’émotion est palpable, tant chez les fans que chez les acteurs, alors que s’annonce le « crash ultime ».
Un final sous haute tension
Le compte à rebours est lancé : « Avant le crash Le “crash ultime” est pour bientôt. […] Il ne reste plus que trois épisodes avant la toute dernière émission ». La tension monte alors que les téléspectateurs s’apprêtent à vivre une conclusion qui promet de marquer les esprits. L’épisode final, diffusé le 10 novembre à 21 h sur les ondes de Radio-Canada, s’annonce comme un véritable choc émotionnel.
Au cœur de cette ultime soirée, le mariage de François (Émile Proulx-Cloutier) et Sabrina (Laurence Leboeuf) sert de décor à une explosion de vérités et de trahisons : « Au mariage de François (Émile Proulx-Cloutier) et Sabrina (Laurence Leboeuf), les masques tombent. La vie de tous et toutes est fracassée par leur propre égoïsme. Dans l’ombre, les relations se brisent, les ambitions s’effondrent. Chacun et chacune doit faire face aux conséquences de ses trahisons. Rien ne sera plus jamais comme avant ».
Des personnages inoubliables, des émotions à fleur de peau
Ce qui a fait la force d’**Avant le crash**, c’est la complexité de ses personnages, « on a adoré voir évoluer… ou régresser. Dommage de devoir faire nos adieux à ces individus malheureux, avides de pouvoir et d’argent ». La série s’est imposée « comme un précieux objet de réflexion, sur la quête effrénée du pouvoir, de l’argent et l’empreinte qu’on laisse aux bouts des doigts ».
Avec « une distribution chevronnée, nous avons vécu toutes les émotions dans les dernières années, du rire aux larmes, en passant par l’ultime crash qui viendra vous balafrer le cœur, et vous faire réfléchir ». Les auteurs ont su éviter les dénouements faciles : « les auteurs ont concocté une finale en crescendo, qui évite les dénouements rose bonbon pour les protagonistes de l’orgue inévitable et tragique ».
Un miroir de notre époque
Au fil des saisons, **Avant le crash** a su se distinguer « comme une des meilleures de notre petit écran »[e], portée par « un des duos les plus obsédants de la télévision québécoise ». Les téléspectateurs ont été « est laissé emporter dans un tourbillon d’émotions », assistant à la transformation saisissante des personnages : « Les méchants s’adoucissent. Les bons s’assombrissent. Et d’un épisode à l’autre, l’allié devient le bourreau, puis la victime ».
La série a également été saluée pour sa capacité à aborder des thèmes universels, tout en restant ancrée dans la réalité contemporaine : « une des meilleures de notre petit écran, mais aussi comme un précieux objet de réflexion, sur la quête effrénée du pouvoir, de l’argent et l’empreinte qu’on laisse aux bouts des doigts ».
Un adieu qui laisse des traces
Alors que le rideau tombe, difficile de ne pas ressentir un pincement au cœur. « Dommage de devoir faire nos adieux à ces individus malheureux, avides de pouvoir et d’argent ». Mais c’est aussi une invitation à la réflexion : « l’ultime crash viendra vous balafrer le cœur, et vous faire réfléchir ».
La série s’achève, mais l’empreinte qu’elle laisse sur le public, elle, restera longtemps gravée. Chapeau bas à toute l’équipe pour ce « crash inoubliable ».


