François Lambert, connu pour ses prises de position tranchées, n’a pas mâché ses mots concernant les employés de Renaud-Bray à Québec qui menacent de déclencher une grève générale illimitée.
L’entrepreneur a profité de cette occasion pour critiquer également les employés de Postes Canada, accusant les deux groupes de se tirer une balle dans le pied.
Dans un tweet en réponse à un article de Noovo Info sur la possible grève chez Renaud-Bray, Lambert a écrit : « Allez, go ! Tirez-vous dans le pied, comme les employés de Postes Canada ! Mais ne venez pas pleurer si les gens se tournent vers Amazon et ne reviennent plus. »
Les employés des deux succursales Renaud-Bray de Québec menacent de déclencher une grève générale illimitée. | via @dlanglois_info https://t.co/zQYU7VOLds
— Noovo Info (@NoovoInfo) December 4, 2024
Lambert a également questionné les méthodes des syndicats, suggérant qu’ils pourraient être dépassés ou incompétents : « Coudonc, est-ce que les syndicats ont ressorti un vieux manuel des années 70 sur comment faire suer leurs clients ? Ou alors, est-ce que les dirigeants syndicaux ont simplement atteint leur niveau d’incompétence, comme le dit le principe de Peter ? »
Cette déclaration a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux, avec des internautes exprimant des opinions variées sur la grève et les pratiques de consommation moderne.
Certains ont défendu les employés, pointant du doigt les salaires insuffisants et les conditions de travail, tandis que d’autres ont exprimé leur frustration face aux désagréments que pourrait causer une grève.
Allez, go ! Tirez-vous dans le pied, comme les employés de Postes Canada !
Mais ne venez pas pleurer si les gens se tournent vers Amazon et ne reviennent plus.
Coudonc, est-ce que les syndicats ont ressorti un vieux manuel des années 70 sur comment faire suer leurs clients ?… https://t.co/uKrLXY95On
— Francois Lambert (@frank_sbr) December 4, 2024
Les débats sur l’impact des grèves sur les habitudes de consommation et la loyauté des clients continuent de diviser l’opinion publique, et la situation chez Renaud-Bray comme chez Postes Canada reste sous haute surveillance.
