François Lambert dénonce une enseignante à l’Ordre des Ingénieurs du Québec et à Polytechnique Montréal
François Lambert dénonce une enseignante à l’Ordre des Ingénieurs du Québec et à Polytechnique Montréal
La saga entre François Lambert et une enseignante de Polytechnique Montréal continue de captiver les réseaux sociaux et prend un tournant sérieux. François Lambert, homme d’affaires et personnalité publique bien connue, a décidé de porter la situation à un niveau institutionnel en impliquant l’Ordre des Ingénieurs du Québec et Polytechnique Montréal.
Dans cette escalade, Lambert a partagé sur ses réseaux sociaux qu’il a transmis les tweets de l’enseignante concernée à l’Ordre des Ingénieurs du Québec pour évaluation. Selon Lambert, ces tweets seraient une preuve de comportement non professionnel et potentiellement dommageable pour la réputation de l’institution éducative ainsi que pour la profession d’ingénieur.
Voici ce qu’il a déclaré sur son compte Twitter:
“C’est certain que lorsque ton employeur @polymtl laisse une de ses prof faire du bullying et de la misandrie sur les réseaux sociaux… J’ai quand même envoyé tous ses tweets à l’ordre des ingénieurs du Québec pour avoir leur opinion sur ce type de comportement à répétition.”
La situation a attiré une large audience et les réactions sont partagées. Certains appuient la démarche de Lambert, le voyant comme un défenseur de l’éthique professionnelle, tandis que d’autres critiquent son approche, la qualifiant de surréaction ou d’atteinte à la liberté d’expression académique.
Cette affaire soulève de nombreuses questions sur les limites de l’expression des académiques en public et sur le rôle des institutions professionnelles comme l’Ordre des Ingénieurs du Québec dans la surveillance de la conduite de ses membres.
L’affaire est en cours de révision et pourrait entraîner des conséquences importantes pour tous les parties impliquées.
Polytechnique Montréal et l’Ordre des Ingénieurs du Québec n’ont pas encore publié de commentaires officiels sur cette affaire, mais la communauté académique et professionnelle est certainement en attente de voir le dénouement de cette confrontation de plus en plus publique et médiatisée.
« Plus j’écoutais et plus cela ressemblait à la valorisation de la victimisation. Au Québec, on aime jouer aux victimes. » https://t.co/LAOlmaWf8Q pic.twitter.com/KJDBEzsF0V
— Sarah Dorner (@sarahdorner) August 21, 2024
Source : Conneriesqc
