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François Lambert : « J’avais une peur bleue de me faire battre » [vidéo]
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François Lambert : « J’avais une peur bleue de me faire battre » [vidéo]

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Capture decran le 2025 09 08 a 14.04.26 e1757354725289 François Lambert : « J’avais une peur bleue de me faire battre » [vidéo]

François Lambert a récemment participé à l’émission Un café avec Judith, animée par Judith Fetzer, cofondatrice de Cook it. Au fil de la conversation, il est revenu sur plusieurs moments marquants de son parcours, tant dans sa vie publique que dans son rôle d’homme d’affaires.

Parmi les moments marquants de son parcours médiatique, on retient particulièrement son passage à Un souper presque parfait, qui l’avait propulsé au-devant de la scène. Cette apparition avait toutefois fait couler beaucoup d’encre, attirant son lot de critiques.

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Avec le recul, François Lambert admet que, pour quelqu’un qui ne le connaissait pas vraiment, il était facile de croire, en le voyant à l’écran, qu’il avait la grosse tête.

J’ai fait ça que pour le plaisir, moi, je ne pensais pas me faire détester et j’ai goûté à la médecine des réseaux sociaux rapidement. La page Facebook d’Un souper presque parfait était hors contrôle, on voulait me décapiter parce que j’avais donné un deux.

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Je n’avais pas réalisé l’impact de ce show-là, comment il était fort, et là j’ai mangé une volée d’à peu près tout le monde. Les moins nantis disaient que je me prenais pour un autre, les riches disaient: Qu’est-ce qu’il fait là, lui? Comment ça se fait qu’il va se présenter puis se pavaner, je suis bien plus riche que lui et moi je me ferme la trappe souligne-t-il, en notant que le montage a le pouvoir de déconstruire des mythes comme d’en inventer d’autres.

«On me détestait royalement !», poursuit-il, alors que l’animatrice lui demande comment il a vécu cette expérience.

«Je braille ma vie!  Les réseaux sociaux, moi, ça a duré de 2012 à 2014, que je braillais ma vie. Je me disais: Mais pourquoi les gens sont si méchants que ça? Je ne suis pas une personne méchante dans la vie, moi. J’en ai mangé des volées sur les réseaux sociaux, j’en mange encore, mais aujourd’hui je m’en fous un peu plus. Mais j’en ai mangé des solides, des gens qui voulaient trouver mon adresse!  À un moment donné, j’avais tellement peur de me faire battre en lisant les commentaires de la page Un souper presque parfait, que je me promenais juste avec mes enfants la fin de semaine » témoigne-t-il, en racontant qu’il croyait qu’avec de jeunes enfants à la maison, personne n’oserait l’attaquer.

Aujourd’hui, l’entrepreneur entretient un rapport particulier avec les réseaux sociaux, qu’il utilise abondamment pour soutenir ses affaires. Marqué par ses expériences passées, François préfère désormais éviter de provoquer la haine, surtout sur sa propre page Facebook, qu’il souhaite garder sous contrôle.

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