L’annonce d’Hélène Boudreau au sujet de son « sugar baby » a suscité de vives réactions au sein du public québécois. La créatrice de contenu a en effet présenté sur Instagram un jeune homme de 19 ans qu’elle décrit comme son « sugar baby ».
Fidèle à son style provocateur et à ses publications soigneusement orchestrées, Boudreau a partagé une série de photos et de vidéos captées lors d’un récent voyage à Saint-Barth, où l’on voit le jeune homme à ses côtés.
Cependant, il pourrait s’agir d’une mise en scène, puisque la nature réelle de leur relation n’a pas été confirmée.
En septembre dernier, l’influenceuse confiait avoir du mal à trouver un « sugar daddy » pour subvenir à ses besoins. Elle avait alors annoncé un virage complet : devenir elle-même une « sugar mommy ». Elle avait même publié une liste détaillée des critères recherchés — disponibilité 24 heures sur 24, voyages, tâches domestiques, prises de photos et vidéos — en échange d’une rémunération pouvant varier entre 50 000 $ et 100 000 $ par an.
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Trois mois plus tard, elle laisse entendre qu’elle aurait trouvé la personne idéale. Dans une courte vidéo tournée à bord d’un jet privé, Hélène Boudreau arbore une casquette « sugar mommy », tandis que le jeune homme porte celle de « sugar baby ». Ce dernier, qui utilise le nom Coco Laurent sur Instagram, se présente comme un Canadien français de 19 ans.
Mise en scène ou véritable relation ?
Comme souvent avec les contenus d’Hélène Boudreau, l’ambiguïté semble faire partie intégrante du spectacle. Le duo apparaît ensemble sur plusieurs photos diffusées sur les réseaux sociaux, sans que la nature exacte de leur relation ne soit clairement précisée. L’influenceuse joue habilement avec la frontière entre provocation, stratégie marketing et humour assumé.
Qu’il s’agisse d’une relation authentique ou d’un concept médiatique conçu pour attirer l’attention, le résultat demeure le même : elle réussit à faire parler d’elle.
L’annonce entourant son « sugar baby » confirme une fois de plus la capacité d’Hélène Boudreau à créer le buzz et à susciter réactions et débats dans l’espace public québécois.
