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« Je n’ai pas de botox… et ce n’est pas de vos affaires » : Catherine Brunet répond fermement à une rumeur tenace à son sujet
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« Je n’ai pas de botox… et ce n’est pas de vos affaires » : Catherine Brunet répond fermement à une rumeur tenace à son sujet

Hanane Kabbab
Capture decran 2025 04 02 130511 « Je n’ai pas de botox… et ce n’est pas de vos affaires » : Catherine Brunet répond fermement à une rumeur tenace à son sujet

Catherine Brunet a tenu à mettre les pendules à l’heure après qu’une rumeur persistante ait refait surface à son sujet.

Figure bien connue et respectée du petit écran québécois, l’actrice de 34 ans brille actuellement dans les séries à succès In Memoriam et Détective Surprenant.

Mais malgré son talent reconnu, certaines personnes semblent plus intéressées par son apparence que par ses performances artistiques.

Tout a commencé lorsqu’elle est apparue dans une vidéo Instagram d’un infirmier en médico-esthétique. Rapidement, des internautes ont sauté aux conclusions, croyant qu’elle avait recours au Botox — et certains se sont même permis de la critiquer publiquement.

Fatiguée par les jugements et les spéculations, Catherine a pris la parole avec aplomb dans une story Instagram afin de faire taire les rumeurs :

« C’est peut-être parce que je vieillis, mais je reçois de plus en plus de ce genre de commentaires. Je le vois chez mes amies actrices aussi. Guys, câl****-nous patience. Vous êtes vraiment des enquêteurs de merde, le 3/4 des trucs que je lis comme ça sont faux, vous avez le compas à côté de l’œil. »

Elle poursuit avec un message clair sur le respect du corps d’autrui :

« Perso, je n’ai pas de botox, mais même si j’en avais, que j’avais un lifting des fesses ou que je me faisais poser deux oranges sanguines à la place des seins, ce n’est pas de vos affaires. Mon corps, mon choix. »

Capture decran 2025 04 02 130041 « Je n’ai pas de botox… et ce n’est pas de vos affaires » : Catherine Brunet répond fermement à une rumeur tenace à son sujet

Dans sa publication, Catherine fait un parallèle fort entre le droit de disposer de son corps librement et plusieurs autres enjeux personnels comme le port du hijab, les tatouages ou encore les décisions médicales.

« Mon corps, mon choix. Ça vaut pour l’avortement, le hijab, les teintures de cheveux, les tatouages, les injections. OK? Merci! »

Un message percutant qui, on l’espère, fera réfléchir plus d’un internaute sur les limites du commentaire gratuit.

 

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