Jean Airoldi, animateur et expert en mode, n’a pas hésité à partager son expérience frustrante avec sa voiture électrique, allant jusqu’à « péter une coche » sur les réseaux sociaux.
Bien qu’il ait au départ été séduit par l’idée d’un véhicule plus écologique, Airoldi fait face à des problèmes qui, selon lui, rendent l’expérience non seulement décevante, mais aussi extrêmement stressante, surtout en hiver.
La source principale de sa frustration est sa borne de recharge domestique, un équipement pourtant sensé simplifier la vie des propriétaires de véhicules électriques.
Installée récemment chez lui pour 2400 $, avec une subvention de 600 $ possible, cette borne de marque Flo, qui devrait théoriquement être adaptée aux hivers québécois, gèle constamment.
Pour résoudre ce problème, Airoldi a dû recourir à un « sac magique » chauffant pour dégeler le connecteur, une solution de fortune qui semble peu pratique et bien loin de l’idéal.
Jean Airoldi vous explique comment sauver $60 000, $2400 et beaucoup, beaucoup, beaucoup de troubles, de stress et de frustrations avec une poubelle électrique pour « bobo urbain », dans une province nordique.
Et ça ne vient pas d’un hurluberlu, ça vient de la police du style!… pic.twitter.com/m8ndf2z6Kp
— André Arthur Live du Paradis ✨ (@andrearthurciel) December 29, 2024
Malgré plusieurs appels au service à la clientèle, qui a reconnu le problème, aucune solution concrète ne lui a été proposée jusqu’à présent.
Les déboires ne s’arrêtent pas là. Lors d’un trajet récent, Airoldi s’est retrouvé dans une situation encore plus problématique : une borne de recharge rapide qui ne fonctionnait pas, un connecteur coincé, et une recherche désespérée de bornes encore en état de marche avec une autonomie qui déclinait à toute vitesse.
Après plusieurs péripéties, il a été contraint d’utiliser une borne lente, nécessitant près de 12 heures de recharge. Et pour couronner le tout, l’application de bornes publiques lui a joué un mauvais tour en indiquant des bornes comme disponibles, alors qu’elles étaient en réalité hors service.
Mais les soucis d’Airoldi ne s’arrêtent pas aux bornes de recharge. Il a aussi dû faire face à des réparations onéreuses sur sa Tesla : 2700 $ pour des problèmes d’éclairage et d’essuie-glaces. Et comme si cela ne suffisait pas, sa fille possède également un véhicule électrique, ce qui multiplie les défis de recharge à domicile.
Dans un post incendiaire, Jean Airoldi n’a pas mâché ses mots, dénonçant ce qu’il considère comme une « poubelle électrique pour bobo urbain » inadaptée à la réalité d’une province nordique comme le Québec.
Jean Airoldi vous explique comment sauver $60 000, $2400 et beaucoup, beaucoup, beaucoup de troubles, de stress et de frustrations avec une poubelle électrique pour « bobo urbain », dans une province nordique.
Et ça ne vient pas d’un hurluberlu, ça vient de la police du style!… pic.twitter.com/m8ndf2z6Kp
— André Arthur Live du Paradis ✨ (@andrearthurciel) December 29, 2024
« Jean Airoldi vous explique comment sauver 60 000 $, 2400 $ et beaucoup, beaucoup de troubles, de stress et de frustrations. » Il ne s’est pas privé de critiquer la pression mise par les gouvernements, notamment la CAQ, pour imposer l’achat de véhicules électriques.
Malgré toute cette accumulation de frustrations, Airoldi garde un certain sens de l’humour et un peu d’optimisme.
Il trouve par exemple un certain réconfort dans l’idée de déguster une poutine chez Mike’s pendant les interminables heures de recharge de son véhicule. Une manière de faire face à l’adversité, en quelque sorte.
En résumé, l’expérience de Jean Airoldi avec sa voiture électrique est loin d’être idyllique, et il le fait savoir haut et fort.
Si le véhicule électrique semblait être l’avenir, pour lui, il semble que cet avenir ne soit pas aussi radieux qu’on nous l’avait promis, surtout dans les conditions hivernales du Québec.
Source : Conneriesqc
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