Jean Airoldi revient sur sa séparation médiatisée d’avec la mère de ses filles
Jean Airoldi, bien connu du public québécois pour ses talents de designer, d’animateur et désormais de courtier immobilier, s’est récemment livré avec beaucoup de franchise dans le balado Oublie pas ta brosse à dents, animé par Alexandre Barrette.
Il y a notamment revisité un chapitre difficile de sa vie : sa rupture très médiatisée avec Valérie Taillefer, la mère de ses deux filles, survenue en 2013.
À l’époque, le couple formait une équipe tant à l’écran que dans la vie. Ils avaient partagé plusieurs projets télévisés et formaient un duo complice aux yeux du public. C’est donc sans surprise que leur séparation avait suscité un fort intérêt médiatique.
Jean Airoldi a expliqué qu’il avait accepté cette exposition médiatique, puisque leur couple avait été mis en avant pendant ses beaux jours :
« On ne peut pas choisir d’être public seulement quand ça va bien. On devait être honnêtes aussi quand ça s’est terminé. »
Il se rappelle aussi à quel point cette rupture l’a pris de court :
« Je ne l’ai pas vu venir… Pas du tout. Ça a été un choc total. »
Pendant la transition, ils ont choisi de ne pas chambouler la vie de leurs filles. La maison familiale a été conservée, et chacun y vivait une semaine sur deux. Une décision qu’il juge encore aujourd’hui comme l’une des meilleures prises dans cette épreuve.
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Aujourd’hui, Jean Airoldi semble avoir tourné la page. Il vit une histoire d’amour avec Chantal, une artiste peintre qui réside en Floride. Leur relation, à distance, s’est construite avec patience et complicité depuis leur rencontre dans un restaurant pendant la pandémie.
« Elle est lumineuse, inspirante, et même si on vit loin l’un de l’autre, on trouve notre équilibre. »
Jean Airoldi, qui a récemment lancé une carrière en immobilier, démontre une fois de plus sa capacité à se réinventer, autant sur le plan personnel que professionnel.
Sa participation au balado a rappelé que, malgré la lumière médiatique, certaines douleurs sont profondément humaines — et que le temps, le respect et l’amour permettent souvent de reconstruire de belles choses.
