Depuis plusieurs années, Jonathan Roy connaît une ascension fulgurante dans sa carrière musicale, enchaînant les succès avec son style unique mêlant pop, folk et sonorités alternatives.
Après s’être éloigné du monde du hockey, où il était souvent associé à son père, Patrick Roy, il s’est entièrement consacré à la musique, un choix qui s’est avéré gagnant.
Ses chansons, imprégnées d’émotions et d’authenticité, résonnent auprès d’un large public, tant au Québec qu’à l’international. En plus de son talent, Jonathan Roy se démarque par sa capacité à captiver les gens avec ses récits de vie.
Que ce soit ses voyages, ses moments passés en pleine nature ou ses rencontres marquantes, il semble toujours avoir une anecdote fascinante à raconter.
Mais sa plus récente confession dépasse de loin toutes les autres…
Afficher cette publication sur Instagram
Lors d’un passage au podcast Prends un break, Jonathan Roy a révélé être passé très près de la mort, après avoir contracté une infection extrêmement dangereuse.
Voici ce qu’il a raconté :
« J’étais dans un spa avec des amis, tout était cool, belle soirée, puis deux jours plus tard, je commence à avoir des symptômes comme une grosse gastro. Vomissements, diarrhée, c’était un désastre. Je me suis réfugié chez ma mère qui a pris soin de moi, mais après six jours vraiment intenses, je ne me sentais toujours pas mieux. »
« J’ai rejoint mon père à l’aréna, mais en arrivant là, je ne filais plus du tout. Il a fallu qu’on aille à l’hôpital en urgence… et là, les médecins ont fait des tests et ont découvert que j’avais attrapé la bactérie mangeuse de chair. »
Jonathan Roy a expliqué que la bactérie s’était propagée dans son sang, au point où il risquait la mort si elle atteignait son cœur.
« J’ai failli… si ça touchait mon cœur, c’était fini. Par chance que je suis allé à l’hôpital à temps. Depuis, je peux vous confirmer que les trips dans le spa, c’est fini pour moi! »
Une histoire qui fait froid dans le dos, mais qui rappelle à quel point certaines infections peuvent être dangereuses si elles ne sont pas traitées rapidement. Heureusement, Jonathan Roy s’en est sorti indemne, et il peut aujourd’hui en rire… tout en mettant en garde les autres!
