Josélito Michaud partage sa douleur après une perte tragique
Cette semaine, Josélito Michaud a pris la parole pour partager son chagrin suite à une double tragédie qui a marqué les fans de la populaire série STAT.
Dans un message poignant publié sur ses réseaux sociaux, Michaud a rendu hommage à Patrick Labbé et à son personnage emblématique, Philippe Dupéré, récemment décédé dans la série.
Rappelons que l’épisode de mardi soir a été un véritable coup de massue pour les amateurs de STAT. Moins de 24 heures après la mort de Delphine Martin (Virginie Ranger-Beauregard), l’équipe médicale de l’hôpital Saint-Vincent perdait un autre pilier, le psychiatre Philippe Dupéré, poignardé tragiquement par Steve Jolicoeur (Marc Beaupré).
La scène déchirante où Emmanuelle St-Cyr (Suzanne Clément) annonce la nouvelle à Rosalie Dupéré (Marine Johnson), la fille de Philippe, a laissé les téléspectateurs bouleversés, suscitant une vague d’émotions sur les réseaux sociaux.
Dans son hommage, Josélito Michaud a salué le talent de Patrick Labbé et l’auteure Marie-Andrée Labbé pour leur capacité à créer des moments profondément humains :
« Ce soir, je suis en deuil. Patrick Labbé est un comédien de haut niveau qui nous a offert un de ses plus beaux personnages à vie. Philippe Dupéré, avec sa pudeur et son bon sens, nous manquera profondément. »
Michaud a également souligné la force narrative des productions signées Fabienne Larouche, qui n’hésitent pas à sacrifier des personnages clés pour faire avancer l’intrigue :
« STAT n’a pas peur de brasser les cartes. Les pertes de Delphine et Philippe vont ouvrir la porte à de nouvelles dynamiques et intrigues. »
L’hommage de Josélito Michaud s’ajoute à celui de nombreux fans, qui ont exprimé leur admiration pour le jeu des acteurs et l’intensité des récents épisodes.
Ces événements marquent un tournant dans STAT, promettant des rebondissements captivants tout en laissant un vide difficile à combler pour les téléspectateurs.
Une chose est sûre : le psychiatre Philippe Dupéré, incarné avec brio par Patrick Labbé, restera longtemps dans les mémoires.
