Julie Perreault et Stéphane Rousseau dévoilent leur première photo de couple


La saison 4 de STAT s’est ouverte en grande pompe, et une nouveauté a particulièrement retenu l’attention : la réalisation est désormais signée par Julie Perreault.
Polyvalente à la fois comme actrice et comme réalisatrice, Julie Perreault vient de partager sa toute première photo de couple avec son amoureux, Stéphane Rousseau. Rappelons qu’ils avaient officialisé leur relation il y a un an, à travers une vidéo originale diffusée sur les réseaux sociaux. On y entendait leurs voix annoncer la nouvelle, tandis que des personnages animés, à leur effigie, défilaient à l’écran.
Pour marquer le lancement de la nouvelle saison de STAT, les deux amoureux ont choisi de publier leur premier cliché ensemble. Et oui : un an après l’annonce de leur relation, on peut enfin voir Julie lovée dans les bras de Stéphane!
Voici la photo en question :
Stéphane, pour l’occasion, arbore une élégante veste noire à capuchon frappée du logo de la série STAT.
Et justement, la première de la saison a tenu toutes ses promesses avec son lot de rebondissements! Après une vague de démissions parmi les professionnels de la santé à l’hôpital Saint-Vincent, Emmanuelle, Pascal St-Cyr et Éric Perron tentent désespérément de maintenir le cap et de garder la situation sous contrôle.
Heureusement, l’urgentologue Marc-Olivier Morin est venu leur prêter main-forte. Celui-ci avait quitté ses fonctions, irrité par la relation entre Emmanuelle et son collègue Jacob Faubert, mais il a tout de même accepté de revenir en renfort.
L’épisode s’est terminé sur une révélation bouleversante concernant un jeune patient. Les résultats de son prélèvement ont mis en lumière une situation particulièrement délicate, laissant craindre que l’enfant de neuf ans ait été victime d’agressions dans le passé.
L’épisode s’est terminé sur une révélation bouleversante concernant un jeune patient. Les résultats de son prélèvement ont mis en lumière une situation particulièrement délicate, laissant craindre que l’enfant de neuf ans ait été victime d’agressions dans le passé.