
Hélène Boudreau, connue du grand public sous le surnom de « La Fille de l’UQAM », a récemment fait sensation sur Instagram en répondant sans filtre aux critiques sur son parcours professionnel.
Dans ses stories, elle a confié qu’elle gagnait entre 5 000 $ et 10 000 $ par mois à ses débuts comme tatoueuse, principalement durant l’été où les walk-ins (clients sans rendez-vous) se multipliaient. Le tout, alors qu’elle était toujours étudiante universitaire à temps plein, cumulant cours, devoirs et même un emploi de barmaid les fins de semaine.
Loin des clichés associés aux artistes ou aux personnalités des réseaux sociaux, Hélène met les pendules à l’heure :
🎓 Elle détient un baccalauréat en arts visuels et médiatiques avec un mineur en enseignement des arts, complété à l’UQAM après avoir repris deux cours manquants en 2022.
💰 Elle souligne que certains de ses amis tatoueurs gagnent jusqu’à 50 000 $ par mois, preuve que ce métier, souvent sous-estimé, peut être extrêmement lucratif.

Face aux critiques virulentes, elle répond avec aplomb, affirmant que son parcours est le fruit de travail acharné, discipline, et talent artistique. Elle encourage d’ailleurs les jeunes à croire en leur passion, sans se laisser freiner par les jugements ou les standards professionnels classiques.
Son message est clair :
« J’ai toujours tout payé moi-même. Je n’ai pas volé ma place. »
Un témoignage fort, à contre-courant, qui illustre qu’il est possible de réussir sans suivre les chemins traditionnels, pourvu qu’on ait l’audace de croire en soi.
Elle apporte une touche de profondeur et de sensibilité à l'univers des potins de stars. À travers ses mots envoûtants, Elle explore les émotions et les vérités cachées derrière les visages célèbres. Son blog offre une pause bienvenue dans le tourbillon des ragots, invitant les lecteurs à réfléchir et à ressentir au-delà des apparences.



