La salive humaine cacherait un antidouleur naturel… six fois plus fort que la morphine !

Et si le remède contre la
douleur se trouvait… dans notre bouche ? 😲
Des chercheurs de l’Institut Pasteur ont découvert dans la salive
humaine une petite molécule naturelle appelée opiorphine. Et attention : elle
serait jusqu’à six fois
plus puissante que la morphine pour calmer la douleur…
sans provoquer de dépendance !
🔍 Comment ça marche ?
Quand on se blesse, notre corps
produit des messagers naturels, les enképhalines, qui aident à apaiser la
douleur.
Le problème : ces messagers se dégradent très vite. C’est là
qu’intervient l’opiorphine !
Elle agit comme un bouclier
protecteur, empêchant leur destruction. Résultat : notre
propre système anti-douleur fonctionne plus longtemps et plus
efficacement.
En résumé, plutôt que de bloquer la douleur comme la morphine, l’opiorphine renforce nos défenses naturelles.
Une révolution à venir ?
Les chercheurs y voient une
piste prometteuse : un analgésique naturel, sans accoutumance ni effets
secondaires lourds.
Mieux encore : cette molécule pourrait aussi avoir des
effets
antidépresseurs !
Une version de synthèse, nommée STR-324, est actuellement testée en laboratoire et en essais cliniques. L’objectif ? Créer un médicament capable de soulager efficacement la douleur sans les risques liés aux opioïdes.
On en est où ?
Les études sont encore en
phase expérimentale, mais les résultats sont très
encourageants.
L’opiorphine a déjà fait ses preuves sur des modèles animaux, et
les premiers tests sur l’humain visent à vérifier sa sécurité et
son efficacité.
Autrement dit : on n’a pas encore trouvé le médicament miracle, mais on s’en approche peut-être !
Et si la nature avait tout prévu ?
Cette découverte rappelle une
chose fascinante : notre corps produit déjà ce dont il a besoin
pour se protéger.
Et si, comme le disait un internaute, « les animaux se lèchent pour
se soigner, pourquoi pas nous ? » 🐶
Peut-être qu’un jour, grâce à
cette petite molécule de notre salive, nous pourrons dire adieu à certains médicaments
lourds.
Comme quoi, parfois, les
plus grands remèdes se cachent juste sous notre nez… ou
plutôt : sous notre langue ! 😄



