La terrible prédiction de Nostradamus ressurgit après la mort du pape François


Lundi matin, à 7h35, le cardinal Kevin Farrell a annoncé la triste nouvelle : le pape François est décédé paisiblement, victime d’un accident vasculaire cérébral. Surnommé « le pape des pauvres », il laisse derrière lui un héritage de compassion et de justice sociale.
Son dernier message, adressé depuis le balcon du Vatican lors du dimanche de Pâques, résonne encore avec force : « Frères et sœurs, joyeuses Pâques. »
Peu après l’annonce du décès du pape François, un extrait des Prophéties de Nostradamus, écrit en 1555, a ressurgi sur les réseaux sociaux et dans les médias du monde entier. Le passage intrigue :
« Par la mort d’un très vieux pontife… un Romain d’un âge avancé sera élu. On dira de lui qu’il affaiblit son siège… mais il siégera longtemps et dans une activité acharnée. » Difficile de ne pas y voir un parallèle avec François, élu à 76 ans et ayant exercé son pontificat avec force malgré les épreuves.
Mais un autre passage, encore plus sombre, attire l’attention : « Lors de la persécution finale de la Sainte Église romaine, Pierre le Romain siégera, et lorsque ces choses seront terminées, la ville aux sept collines sera détruite, et le juge redoutable jugera son peuple. La Fin. » De quoi alimenter, une fois de plus, les spéculations autour de la succession papale… et du destin de Rome.
Pour les passionnés de prophéties, l’élection du prochain pape pourrait incarner la figure de « Pierre le Romain », celui qui, selon Nostradamus, régnerait lors des dernières convulsions de l’Église. Un changement historique majeur serait en marche, selon les plus mystiques.
Mais les sceptiques tempèrent : les successions papales ont souvent suivi des schémas similaires, et les écrits de Nostradamus, volontairement énigmatiques, laissent place à de nombreuses interprétations.
Entre fiction et vérité : ce qu’il faut retenir.
Depuis des siècles, Nostradamus fascine autant qu’il divise. Certains le considèrent comme un visionnaire, d’autres comme un poète sibyllin, dont les vers peuvent être adaptés à tous les événements. Qu’on y croie ou non, la résonance de ses mots après la mort d’un pape révèle surtout un besoin humain profond : interpréter, donner du sens au deuil.
La prophétie fait
parler, c’est certain. Mais elle ne doit pas éclipser l’essentiel :
l’héritage laissé par François.
Car au-delà des textes anciens, ce sont ses gestes, sa
bienveillance et son engagement envers les plus humbles qui
marqueront véritablement l’histoire.