Le 98,5 FM annonce sa décision au sujet de Jérémy Filosa
Le 18 octobre dernier, le 98,5 FM a fait une annonce marquante en confirmant la suspension temporaire du reporter sportif Jérémy Filosa, dans le cadre d’une affaire pour le moins singulière. Selon les informations rapportées par Hugo Dumas de La Presse, de nouveaux détails ont maintenant émergé concernant la situation du chroniqueur.
Depuis plusieurs années, Jérémy Filosa est un chroniqueur sportif bien établi et généralement apprécié dans le milieu. Cependant, il s’est récemment attiré des ennuis après avoir tenu des propos aux accents conspirationnistes en direct, lors de l’émission Le Québec maintenant. Cette situation a rapidement fait réagir et a mis le chroniqueur dans une position délicate.
Au début de l’émission, Jérémy Filosa a déclaré : « Je ne suis pas conspirationniste. J’ai longtemps cru que l’homme avait marché sur la Lune. Mais je ne crois plus que l’homme a marché sur la Lune. »
Il a ensuite expliqué que cette conviction s’était développée après avoir pris connaissance de nouvelles informations récemment découvertes, ce qui a suscité de vives réactions parmi les auditeurs et les médias L’animateur Philippe Cantin, manifestement mal à l’aise, a réagi en disant simplement à son collègue qu’il se basait sur de fausses informations. Ce commentaire traduisait son inconfort face aux propos de Jérémy Filosa.
Hugo Dumas de La Presse révèle désormais des informations inédites et captivantes au sujet de Jérémy Filosa, apportant de nouveaux éclairages sur cette affaire. On apprend qu’il a récemment rencontré ses supérieurs et qu’il restera finalement au sein du 98,5 FM. Toutefois, son rôle évolue : il occupera désormais un poste en recherche, où il se consacrera à la préparation des émissions de sport.
Jérémy Filosa ne pourra pas reprendre son micro avant, au minimum, l’an prochain, et ce, uniquement si son processus de réhabilitation se déroule favorablement.
Cogeco Média précise que Filosa reconnaît ne pas avoir respecté les normes journalistiques en vigueur. En conséquence, il devra suivre des formations spécifiques, malgré ses 25 ans d’expérience dans le domaine.
Source: La Presse
