Benoît Dagenais, un pilier du théâtre et de la télévision québécoise, s’est éteint subitement à l’âge de 71 ans. Durant sa carrière, il a marqué le paysage artistique en jouant dans de nombreuses productions réputées et en dirigeant le Conservatoire d’art dramatique de Montréal.
Né à Québec, Dagenais a démarré sa carrière sur les planches avant de s’illustrer à la télévision dans des rôles qui ont touché le cœur de nombreux Québécois.
Parmi ses œuvres les plus notables, on compte des participations dans des séries comme « Montréal P. Q. », « Watatatow », et « Fortier ». Il a également marqué les esprits avec des apparitions dans « Les Bougon », « La Galère », et « 30 Vies ».
Après des études fructueuses au Conservatoire d’art dramatique de Montréal, il y est revenu en tant qu’enseignant, puis directeur, influençant des générations d’acteurs avec son approche rigoureuse et passionnée de l’art dramatique.
Ses collègues et élèves se souviennent de lui non seulement comme un mentor exigeant mais aussi comme un ami fidèle et un homme d’une grande sensibilité. « Benoît était plus qu’un enseignant pour nous, c’était un pilier, un guide et parfois même un second père », confie un de ses anciens élèves.
Dagenais a également laissé une empreinte indélébile dans le cinéma, jouant dans des films marquants comme « Le Party » et « 15 février 1839 », sous la direction de Pierre Falardeau.
Les détails concernant les arrangements funéraires seront annoncés sous peu. La communauté artistique pleure aujourd’hui la perte d’un de ses grands, et beaucoup se souviendront de lui lors de la prochaine cérémonie des prix d’excellence de l’art dramatique, où un hommage spécial lui sera rendu.
Il laisse derrière lui sa femme, ses enfants, ainsi qu’une légion d’admirateurs et de professionnels qui aspirent à suivre ses traces.
Source : Lapresse
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