Les derniers mots tragiques de Matthew Perry : «Injecte-m’en une grosse»
Le décès de Matthew Perry, célèbre pour son rôle dans la série Friends, continue de susciter l’émoi et la controverse. Récemment, des révélations choquantes ont été divulguées concernant les circonstances entourant sa mort tragique le 28 octobre dernier.
Selon un accord de plaidoyer signé par son assistant Kenneth Iwamasa et rapporté par Page Six, l’acteur aurait prononcé les mots «Injecte-m’en une grosse» peu de temps avant de perdre conscience pour la dernière fois.
Kenneth Iwamasa, qui est l’une des cinq personnes accusées dans le cadre de la mort de Perry, a admis avoir préparé le jacuzzi de l’acteur et lui avoir administré une forte dose de kétamine.
Cela, même après l’avoir trouvé inconscient à deux reprises dans les semaines précédant son décès. Selon les documents judiciaires, l’assistant aurait injecté à Perry entre « 6 à 8 doses par jour » de kétamine, une quantité alarmante qui soulève de sérieuses questions sur la négligence et l’abus de confiance.
Le 28 octobre, après avoir administré une seconde dose de kétamine à l’acteur vers 12h45, Iwamasa aurait quitté la résidence pour faire des courses, laissant Perry seul et sous sédation. À son retour, il aurait découvert l’acteur flottant sans vie dans son jacuzzi.
La révélation de ces détails a conduit à l’inculpation de quatre autres individus en plus de Iwamasa.
Parmi eux, Erik Fleming, un directeur de film accusé de fournir la kétamine, et les docteurs Mark Chavez et Salvador Plasencia, impliqués dans un complot présumé pour exploiter financièrement l’acteur. Jasveen Sangha, surnommée la «Reine de la kétamine», est également accusée d’avoir fourni la drogue.
Ces révélations ont provoqué une onde de choc parmi les fans de l’acteur et le grand public, exacerbant le débat sur la responsabilité et l’éthique dans la gestion des dépendances des célébrités.
Les peines encourues par les accusés varient, avec certains risquant jusqu’à 25 ans de prison.
Les derniers mois de la vie de Matthew Perry mettent en lumière les dangers de la dépendance et les failles potentielles dans l’entourage des personnes publiques.
Ce drame rappelle la nécessité de surveiller étroitement le traitement médical et la qualité des soins prodigués aux individus en situation de vulnérabilité.
Source : Demotivateur