Luc Poirier provoque tous les propriétaires de voitures électriques avec une seule phrase


Luc Poirier déclenche une vague de réactions avec une phrase audacieuse sur les voitures électriques
Luc Poirier a récemment fait parler de lui sur Facebook avec une publication qui a rapidement suscité de nombreux commentaires. Dans son message, il a partagé une photo montrant une Tesla stationnée à côté d’une voiture à essence, accompagnée de cette déclaration provocatrice :
« Désolé, mais dans 50 ans, personne ne va restaurer une Tesla. »
Cette simple phrase a provoqué une avalanche de réactions, divisant son audience entre partisans et détracteurs des voitures électriques. Plusieurs personnes ont tenu à exprimer leur désaccord dans les commentaires, pointant que l’argument de Luc ne tenait pas forcément la route.
Par exemple, un utilisateur a répliqué : « Ce n’est pas le but de toute façon. Mais en à peine 10 ans, Tesla a réussi à créer une voiture quatre passagers qui fait le 0-100 km/h en 2 secondes. Méchante claque à l’orgueil des voitures sport ! »
D’autres ont fait valoir que certaines Tesla, comme la Roadster originale, sont déjà des véhicules de collection et que des spécialistes travaillent sur la restauration de ces voitures, notamment en refaisant les batteries de traction.
Ils soulignent également que certains modèles de Tesla pourraient bien être restaurés dans le futur, comme c’est le cas aujourd’hui pour des voitures comme les Honda Civic ou d’autres véhicules de générations passées.
Un autre utilisateur a mis en avant la différence entre les voitures électriques et les muscle cars, des véhicules qui représentent la nostalgie d’une époque spécifique.
« C’est sûr que, par exemple, entre une Camaro SS 1969 et une Tesla, je vais restaurer la Camaro. Mais cela n’a rien à voir avec le fait que ce soit électrique ou à essence », a-t-il souligné.
Ces échanges montrent bien que, malgré les avancées technologiques de Tesla et d’autres constructeurs de véhicules électriques, il existe toujours un débat sur leur place dans l’histoire automobile et leur potentiel à devenir des classiques restaurés.
Cette discussion ne fait que renforcer l’idée que le monde de l’automobile est en pleine évolution, et que la question de savoir quels véhicules seront restaurés dans 50 ans dépendra sans doute autant de l’émotion et de la nostalgie que des performances techniques.
Source : Facebook Luc Poirier