« J’avais une offre d’achat sur le bateau… »
Une poursuite de 800 000 $ aurait été déposée le 26 novembre à la Cour supérieure du Québec par Daniel Émond et Geneviève Émond contre l’entrepreneur Luc Poirier, rapporte La Presse.
Selon un article signé par les journalistes Nicolas Bérubé et Louis-Samuel Perron, Daniel Émond et sa fille Geneviève, cofondateurs du spa flottant Bota Bota dans le Vieux-Montréal, reprochent à Luc Poirier de s’être attribué à tort la « paternité » de leur entreprise dans sa série documentaire Luc le milliardaire?, présentée sur Crave.
Dans leur poursuite, les Émond affirment que Luc Poirier se serait indûment proclamé initiateur et concepteur du Bota Bota. Ils lui reprochent également d’avoir laissé entendre qu’il en était investisseur et copropriétaire — des déclarations qu’ils qualifient de « fausses » et susceptibles d’« induire le public en erreur ».
Contacté par La Presse, Luc Poirier demeure ferme : il soutient que l’idée d’un spa flottant vient de lui et qu’il en serait le véritable initiateur.
Il affirme également qu’il pourra, devant les tribunaux, faire témoigner les premières personnes ayant travaillé sur le projet. Selon lui, ces témoins confirmeraient qu’il était seul aux commandes au départ et que la famille Émond se serait jointe à l’aventure seulement par la suite.
Tandis que le Bota Bota poursuit sa croisière tranquille dans le Vieux-Montréal, l’affaire, elle, pourrait provoquer de sérieuses vagues. Les eaux du Bota Bota semblent bouillonner — et pas seulement dans les bassins…
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Rappelons qu’en mars 2025, Louis Morissette a donné suite à sa mise en garde en déposant une requête pour intenter une poursuite contre Luc Poirier, à la suite de propos tenus par ce dernier à l’émission de Sophie Durocher concernant la Fondation Véro & Louis et ses activités.
Lors de son récent passage au balado Party Pyjama, animé par le dynamique duo Marina Bastarache et Maxime Gibeault, Louis Morissette s’est prêté à une série de jeux aussi amusants qu’imprévisibles, dans une ambiance détendue, ponctuée de rires et de complicité. Il en a profité pour livrer quelques confidences savoureuses et anecdotes colorées.
Au cours de l’épisode, l’animatrice lui a lancé la question : « Penses-tu que tu ferais un bon avocat ? »
« Je pense que oui. Je pense que oui. Je pense que je pourrais », a alors répondu Morissette.
« Je pense que j’ai raison (…) Je peux… je peux être détestable. Et en ce moment, alors qu’on se parle, je suis engagé dans une poursuite contre quelqu’un. On a passé à travers tous les interrogatoires avec l’avocat de l’autre partie et… c’était quelque chose. Je suis passé en premier, puis des membres de l’équipe ici, Véro aussi, tout le monde a trouvé ça complètement traumatisant tellement c’était désagréable et stressant. Moi, j’ai adoré ça », a raconté Louis Morissette, un large sourire aux lèvres.
« J’ai adoré ça. C’était une véritable joute… une joute psychologique et oratoire qui me stimulait profondément », a-t-il ajouté.
