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Mario Dumont affirme que la grève chez Postes Canada est « la plus ratée de l’histoire »
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Mario Dumont affirme que la grève chez Postes Canada est « la plus ratée de l’histoire »

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Dans une chronique au ton tranchant, Mario Dumont estime que le conflit de travail en cours chez Postes Canadareprésente « la grève la plus ratée de l’histoire ».

Vendredi dernier, Mario Dumont a publié une chronique consacrée à la grève en cours chez Postes Canada.

Selon l’ancien politicien, les employés de la société d’État subissent les conséquences d’un conflit mal dirigé :

Capture decran le 2025 10 15 a 10.53.40 Mario Dumont affirme que la grève chez Postes Canada est « la plus ratée de l’histoire »

« Sacrifier quelques jours de revenus pour faire pression sur l’employeur afin d’améliorer ses conditions, cela peut se justifier. Mais sacrifier sa paye dans le cadre d’une stratégie absurde et déconnectée, qui passe complètement dans le beurre, c’est sûrement frustrant », écrit-il.

Dumont déplore ainsi une grève qu’il juge inefficace et coûteuse pour les travailleurs et travailleuses concernés.

Le chroniqueur estime que cette grève est « tactiquement ratée » et qu’elle ne suscite « aucun véritable émoi dans la société ».

Dans sa chronique, Mario Dumont dirige surtout ses critiques vers les dirigeants syndicaux, plutôt que vers les travailleurs et travailleuses. L’ancien politicien remet en question leur attitude face au ministre Joël Lightbound :

« Je ne comprends toujours pas ce qu’ont pensé les dirigeants syndicaux. Ils ont eu l’air de poules pas de tête aux yeux du public », écrit-il.

Par ses propos, Dumont souligne une gestion qu’il juge confuse et déconnectée de la réalité du terrain.

Capture decran le 2025 10 15 a 11.17.46 Mario Dumont affirme que la grève chez Postes Canada est « la plus ratée de l’histoire »

Le chroniqueur va plus loin en suggérant un renouvellement de leadership, tant du côté syndical que patronal :

« Sincèrement, à ce point-ci, ceux qui ont établi la stratégie syndicale devraient peut-être songer à tirer leur révérence. Tant qu’à y être, le gouvernement pourrait aussi songer à remercier les patrons qui semblent foncer béatement dans le mur », écrit-il.

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