Mario Pelchat émeut Marie-Claude Barrette avec un récit bouleversant

L’émission Ouvre ton jeu, animée par Marie-Claude Barrette, réserve souvent des moments intenses, mais cette fois, l’émotion était à son comble. Invité du balado, Mario Pelchat a partagé une histoire profondément personnelle qui a littéralement fait craquer l’animatrice.
Une confidence remplie d’émotion

Au fil des questions du jeu de cartes qui guide les échanges de l’émission, le chanteur s’est confié sur le décès de sa grand-mère, un souvenir encore très vivant dans son cœur.
Alors qu’il se trouvait à son chevet, plusieurs membres de sa famille pensaient qu’elle ne pouvait plus entendre ni réagir. Pourtant, Mario Pelchat a choisi de lui parler directement : il lui a demandé de lui serrer la main… et elle l’a fait.
Une infirmière présente lui a alors suggéré de lui chanter « Les vieux mariés », une chanson qu’il avait interprétée lors du 50e anniversaire de mariage de ses grands-parents. Le chanteur s’est exécuté. Et à ce moment précis, sa grand-mère a ouvert les yeux… avant de s’éteindre.
Marie-Claude Barrette profondément touchée

Le récit a bouleversé Marie-Claude Barrette, visiblement émue aux larmes pendant l’entrevue. L’animatrice n’a pas caché sa sensibilité face à cette scène d’adieu si intime. Et difficile de ne pas la comprendre : ce moment de connexion ultime entre un petit-fils et sa grand-mère a touché de nombreux auditeurs.
Après cette expérience, Mario Pelchat a confié qu’il avait cessé d’avoir peur de la mort, un changement profond né de ce moment de grâce.
Les internautes, eux aussi, bouleversés
Sur la page de Marie-Claude Barrette, les réactions se sont multipliées après la diffusion de l’extrait. Plusieurs admirateurs du chanteur ont exprimé leur émotion, comme en témoigne ce commentaire :
« Mario, tu m’as donné des frissons juste avec les paroles de ta grand-mère. Xxx »
Une chose est sûre : cette rencontre entre Marie-Claude Barrette et Mario Pelchat restera comme l’un des moments les plus touchants du balado Ouvre ton jeu.



