Michel Goyette Révèle Enfin Pourquoi Il a Tourné le Dos au Showbiz Après 20 Ans de Silence
Michel Goyette, autrefois enfant prodige du petit écran, a marqué les esprits avec des rôles inoubliables dans des séries telles que Lance et compte, Les filles de Caleb, et Watatatow. De 1985 à 2002, il a captivé les téléspectateurs avant de disparaître des radars.
Après vingt ans de silence médiatique, Michel s’ouvre enfin sur son parcours loin des projecteurs. Il explique : « À l’époque, je ne voulais pas d’une entrevue du style “Que sont-ils devenus?” J’avais encore de la tristesse d’avoir quitté ce métier. » En 2020, il participe finalement à la série documentaire L’ombre et la lumière animée par Véronique Cloutier, marquant son retour sur le devant de la scène.
Aujourd’hui âgé de 51 ans, Michel n’échappe pas à la reconnaissance publique. « Les gens me reconnaissent grâce à ma baby face et mes yeux bleus. C’est agréable, même si c’est moins intense qu’avant. »
La transition de Michel vers une nouvelle carrière n’a pas été sans défis. Après des années de succès et de vie nocturne, il a dû faire face à la réalité. « Mon arrestation pour conduite avec facultés affaiblies a été un tournant. Mon père, entrepreneur, m’a offert une nouvelle chance. J’ai commencé comme manœuvre dans son entreprise de construction. »
Michel s’est ensuite formé, devenant chef d’équipe, puis partenaire de l’entreprise familiale en 2006. En 2020, la pandémie a changé la donne, le poussant à devenir consultant en décontamination. « J’ai acquis mon propre microscope pour identifier les contaminants. Je n’ai jamais été aussi épanoui. »
En plus de son succès professionnel, Michel savoure le bonheur familial. Sa fille Ève, 28 ans, travaille maintenant comme agente de bord chez Air Canada. Michel a également trouvé l’amour avec Mélanie, 44 ans, et ils se marieront cet été à Montréal.
Avec une nouvelle carrière florissante et une vie personnelle stable, Michel Goyette prouve que la résilience et la détermination peuvent mener à une seconde chance réussie.
