Tribune Tendance
En cours de lecture
Nathalie Simard rompt une collaboration importante à la suite d’allégations troublantes
Tribune Tendance
Tribune Tendance

Nathalie Simard rompt une collaboration importante à la suite d’allégations troublantes

Avatar photo
Capture decran le 2025 06 04 a 16.56.22 e1749070670600 Nathalie Simard rompt une collaboration importante à la suite d’allégations troublantes

Alors qu’elle profite d’une croisière en Europe, de la Grèce jusqu’en Italie, aux côtés de Marie-Claude Barrette, Guylaine Tremblay, Janick Fournier et d’autres invitées surprises, la chanteuse a dû mettre ses vacances sur pause. En cause : une situation médiatique qui prend de l’ampleur et qui l’a poussée à sortir du silence ce mercredi pour faire le point publiquement.

En effet, Nathalie Simard et sa gérante Nancy Gauthier ont annoncé, par voie de communiqué, la fin immédiate de la collaboration entre la chanteuse et la Maison Grande Ourse. Initialement, cette entente devait se conclure prochainement en raison de l’agenda professionnel très chargé de l’artiste. Cependant, à la lumière de récentes allégations visant l’organisation, Nathalie Simard a pris la décision d’y mettre un terme sans délai.

Capture decran le 2025 06 04 a 16.48.40 Nathalie Simard rompt une collaboration importante à la suite d’allégations troublantes

À la suite de graves allégations relayées dans les médias, Nathalie Simard a annoncé mettre fin immédiatement à sa collaboration avec l’établissement dont elle était la marraine depuis plusieurs années.

Les allégations ciblent la Maison Grande Ourse, un centre d’accueil pour femmes victimes de violences sexuelles, dont Nathalie Simard est la marraine depuis plusieurs années.

Selon un article publié plus tôt aujourd’hui, des femmes qui se seraient présentées à l’établissement auraient été traitées dans des conditions rappelant celles d’un environnement carcéral.

On peut notamment lire ceci dans le texte signé par Alexandre Moranville-Ouellet sur le site du Journal de Montréal :

« Interdiction de sortir sans surveillance, téléphone confisqué, douche obligatoire : plusieurs anciennes intervenantes dénoncent l’approche clinique d’un centre de thérapie pour femmes victimes de violences sexuelles en Montérégie, qui traiterait ses pensionnaires comme des détenues plutôt que comme des victimes d’agressions. »

Défiler vers le haut