Le réalisateur Simon Olivier Fecteau a récemment confié qu’un commentaire du chroniqueur Hugo Dumas sur le dernier Bye Bye l’avait particulièrement blessé. Une révélation qui survient alors qu’il tourne la page sur cette grande aventure télévisuelle.
Le 12 mars dernier, il annonçait sur sa page Facebook une nouvelle majeure : le Bye Bye 2024 était son dernier. Après plusieurs années à diriger l’émission la plus regardée au Québec, il a pris la décision de passer à autre chose.
Voici le message intégral qu’il a partagé avec son public :
Une annonce qui marque la fin d’une ère pour Bye Bye, mais aussi un tournant important dans la carrière de Simon Olivier Fecteau.
Dans les derniers jours, Simon Olivier a fait une apparition remarquée à l’émission Tout peut arriver, animée par Marie-Louise Arsenault sur les ondes d’ICI Radio-Canada. Au cours de cette entrevue franche et émotive, il a confié avoir été profondément blessé par un commentaire du chroniqueur télé de La Presse, Hugo Dumas.
Interpellé par l’animatrice sur les critiques médiatiques et leur impact, Simon Olivier n’a pas hésité à évoquer un passage précis de la chronique de Dumas qui l’a particulièrement atteint. Sans entrer dans les détails exacts des propos en question, il a expliqué que cette remarque avait remis en question non seulement son travail, mais aussi sa légitimité dans l’industrie.
« Quand on se donne corps et âme dans un projet, c’est difficile de lire des commentaires qui semblent balayer tout cela du revers de la main », a-t-il confié, visiblement ému.
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L’animatrice a alors cherché à savoir comment il avait réagi à cette critique et s’il avait tenté d’en discuter avec Hugo Dumas. Simon Olivier a répondu avec sincérité, admettant qu’il avait hésité à lui écrire, mais qu’il préférait désormais prendre du recul face aux opinions des chroniqueurs.
Malgré cette blessure, il a tenu à souligner qu’il respectait le travail des critiques et comprenait leur rôle dans l’écosystème médiatique. Toutefois, il a rappelé l’importance de la nuance et de la bienveillance, surtout dans un milieu aussi exigeant que le sien.
Son témoignage a suscité une vague de réactions, notamment sur les réseaux sociaux, où plusieurs artistes et personnalités ont partagé leur soutien face aux critiques parfois sévères de l’industrie du divertissement.
