Sophie Durocher dénonce et demande qu’on laisse Guillaume Lemay-Thivierge tranquille
Dans une récente chronique publiée dans le Journal de Montréal, Sophie Durocher n’a pas mâché ses mots en critiquant le traitement médiatique réservé à Guillaume Lemay-Thivierge.
Elle s’attaque notamment à Radio-Canada, qu’elle accuse de double standard.
Durocher pointe du doigt la société d’État pour avoir refusé une publicité mettant en vedette Guillaume par crainte de controverse, tout en n’hésitant pas à le ridiculiser pendant trois minutes dans le Bye Bye.
OPINION | Foutre la paix à Guillaume Lemay-Thivierge (@sophiedurocher)https://t.co/myi9WOmubv
— Le Journal de Montréal (@JdeMontreal) January 6, 2025
Selon Sophie Durocher, cette satire du Bye Bye, diffusée devant des millions de téléspectateurs, s’apparente à « fesser sur un gars qui est à terre ». Elle rappelle que Guillaume Lemay-Thivierge est en période de reconstruction professionnelle après avoir perdu plusieurs contrats, et que ce genre d’humour de la part d’artistes bien rémunérés semble particulièrement cruel.
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Elle note également une incohérence frappante :
« Pourquoi continue-t-on de se moquer de Guillaume pour une mauvaise blague alors que d’autres personnalités publiques ayant tenu des propos bien plus controversés, comme Haroun Bouazzi, ne reçoivent pas le même traitement ? »
Durocher met en lumière le contraste entre la réception médiatique et celle du public. Elle cite en exemple la publicité de Meubles RD mettant en vedette Guillaume Lemay-Thivierge, qui a été accueillie avec enthousiasme par les spectateurs, en décalage complet avec l’hostilité des médias.
La chroniqueuse va plus loin en comparant ce traitement à une forme d’intimidation, rappelant que ce comportement, inacceptable dans une cour d’école, devient soudainement légitime lorsqu’il est orchestré par « la clique des médias ».
Elle conclut en appelant à davantage de respect et de bienveillance dans le traitement des personnalités publiques, en particulier celles qui traversent des périodes difficiles.
Sophie Durocher a déjà pris la défense de Guillaume Lemay-Thivierge lors d’une controverse précédente, et son message cette fois-ci résonne tout autant.
Elle invite à une réflexion sur le rôle et la responsabilité des médias dans leurs critiques, et sur l’impact qu’elles peuvent avoir sur les individus ciblés.
Ce plaidoyer ne manquera pas de susciter des réactions, tant dans le monde médiatique que chez les admirateurs de Guillaume Lemay-Thivierge, qui espèrent eux aussi qu’on lui « fiche la paix ».
Source : Conneriesqc