Sophie Durocher fait éclater la controverse avec un texte sur Guillaume Lemay-Thivierge
Chroniqueuse reconnue dans le paysage médiatique québécois, Sophie Durocher est connue pour ses prises de position claires et audacieuses. Elle n’hésite jamais à dire tout haut ce que plusieurs pensent tout bas.
Récemment, celle qui a marqué les esprits lors de sa participation à la deuxième saison de la téléréalité Sortez-moi d’ici a publié un texte remarqué dans le Journal de Montréal.
Dans ce dernier, Sophie Durocher prend la défense de Guillaume Lemay-Thivierge, l’ex-animateur de Chanteurs masqués, qui fait toujours face à une période tumultueuse. Fidèle à elle-même, la chroniqueuse aborde le sujet avec franchise et conviction, suscitant un vif intérêt parmi ses lecteurs.
(Découvrez la suite de son analyse dans l’article ci-dessous.)
La chroniqueuse Sophie Durocher n’a pas mâché ses mots dans son dernier texte publié au Journal de Montréal. Elle prend position avec force dans le dossier entourant Guillaume Lemay-Thivierge, dénonçant ce qu’elle perçoit comme un véritable « acharnement » envers l’ex-animateur de Chanteurs masqués.
Voici un extrait marquant de sa chronique :
« D’un côté, les gens de Radio-Canada refusent une pub mettant en vedette Guillaume Lemay-Thivierge, parce qu’ils ont peur de la controverse. De l’autre, ils montrent au Bye Bye un sketch de trois minutes sur Guillaume Lemay-Thivierge, où on le ridiculise devant 4 millions de personnes.
Il me semble que si tu craches sur un individu pendant trois minutes, tu peux au moins lui allouer 30 secondes, pour qu’il montre au Québec au complet qu’une entreprise a décidé de lui donner une deuxième chance. »
Le texte de Sophie Durocher continue de faire réagir, provoquant un débat passionné sur la place publique.
La chroniqueuse Sophie Durocher s’insurge contre Radio-Canada dans son dernier texte. Elle critique vivement la société d’État pour avoir refusé de diffuser une publicité mettant en vedette Guillaume Lemay-Thivierge, tout en se permettant de le tourner en ridicule dans le Bye Bye 2024, suivi par des millions de téléspectateurs.
« Comment peut-on refuser un contrat publicitaire sous prétexte de controverses, mais ensuite utiliser la même personne comme cible de moqueries dans une émission phare ? » s’interroge-t-elle. Pour Sophie Durocher, cette attitude révèle une incohérence troublante de la part de Radio-Canada, qu’elle qualifie de deux poids, deux mesures.
Son texte ne passe pas inaperçu et suscite un vif débat sur la manière dont les personnalités publiques sont traitées par les médias d’État.
Source; La Presse