La dernière émission régulière de la saison de Tout le monde en parle a frappé fort. Parmi les invités les plus attendus : Bernard Drainville, ministre de l’Éducation du Québec, venu expliquer (et défendre) sa toute nouvelle réforme scolaire.
Au cœur de la
controverse :
📵 Interdiction
totale des cellulaires dans toutes les écoles primaires et secondaires dès la rentrée 2025
🤝 Vouvoiement
obligatoire
des enseignants par les élèves
— même au primaire
Une réforme qui, sans surprise, a immédiatement enflammé les réseaux sociaux. Parents, enseignants, élèves, tout le monde y est allé de son commentaire. Plusieurs dénoncent une réforme jugée « déconnectée du terrain », qui s’attaque aux mauvaises priorités.
Une blague bien placée… et impossible à oublier
C’est donc dans ce climat électrique que Bernard Drainville s’est assis sur le plateau de Tout le monde en parle. Visiblement prêt à défendre son plan, il a à peine commencé sa première phrase :
« Pis, je te dirais, l’élément… »
quand Guy A. Lepage l’a interrompu avec un sourire en coin :
« Hey, hey, hey, on dit vous ! »
💥 Et boum, la blague a fait mouche. Rires autour de la table, applaudissements du public. Même le ministre, un peu surpris, a pris le tout avec sport :
« On peut se vouvoyer, j’ai pas d’enjeu, mais je vais vous appeler Guy A., je vais vous vouvoyer comme à l’école. »
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Rire ou soupirer ?
Si cette touche d’humour a détendu l’atmosphère, elle résume aussi l’ironie que plusieurs ressentent face à cette réforme. Le vouvoiement obligatoire et la chasse aux cellulaires sont perçus par plusieurs comme des gestes symboliques, loin des vrais défis du milieu scolaire : manque de ressources, surcharge de travail, enjeux de santé mentale.
En bref
En voulant instaurer le respect dans les écoles, Bernard Drainville a surtout provoqué des débats… et offert à Guy A. l’occasion d’une des blagues les plus commentées de la saison.
Sources: Tout le monde en parle / Showbizz / Monde de stars
