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« Travailler 40 ans pour vivre ensuite ? Non merci ! » : Mélina choque avec son refus du modèle 9 à 5
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« Travailler 40 ans pour vivre ensuite ? Non merci ! » : Mélina choque avec son refus du modèle 9 à 5

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Capture decran 2025 07 28 053603 e1753695527388 « Travailler 40 ans pour vivre ensuite ? Non merci ! » : Mélina choque avec son refus du modèle 9 à 5

Mélina, une Québécoise née en 1992, a décidé de dire non à la routine métro-boulot-dodo. Refusant de consacrer sa vie à un travail de 40 heures par semaine jusqu’à la retraite, elle fait le choix de vivre autrement. Et son discours fait grandement réagir.

Pour Mélina, l’idée de sacrifier sa jeunesse pour une hypothétique liberté à la retraite est tout simplement absurde. Elle a quitté un emploi stable, bien rémunéré, et refusé les promesses de sécurité pour se recentrer sur ce qui compte vraiment : le moment présent.

« Pourquoi attendre le vendredi pour être heureuse, ou les vacances pour respirer ? », dit-elle.

Ce choix de vie a provoqué des tensions, notamment avec sa propre mère, attachée aux valeurs de stabilité et de réussite classique. Mais Mélina assume.

À ses yeux, la vraie réussite ne se mesure plus par un titre ou un salaire, mais par la liberté de vivre à son rythme. Elle privilégie les journées simples, comme un mardi après-midi au soleil, plutôt qu’un bureau sous néon.

Grâce aux opportunités du web, Mélina travaille différemment : moins, mais mieux. Et même si ce modèle bouscule les mentalités, elle en est convaincue : une autre vie est possible.

@melinabelangerrJe veux vivre ma vie aujourd’hui, pas à ma retraite… qui est avec moi? ✨

♬ original sound – Mélina Bélanger

Sur les réseaux sociaux, son témoignage ne laisse personne indifférent. Certains l’admirent, d’autres s’inquiètent.

  • « Si tout le monde fait ça, qui va soigner, construire, enseigner ? », s’interroge un internaute.
  • « Les jeunes ont compris 😉 », applaudit une autre.
  • Une juriste raconte même avoir fait le même choix à 50 ans : elle travaille maintenant trois jours par semaine… pour un meilleur salaire.

D’autres restent sceptiques et se demandent si Mélina subvient réellement seule à ses besoins.

Ce que soulève Mélina va au-delà de son cas personnel. C’est une remise en question du modèle traditionnel, une quête de sens. Une provocation pour certains, une bouffée d’air pour d’autres.

Et vous, seriez-vous prêt·e à vivre moins pour gagner plus… de temps, de paix et de liberté ?

 

Source : petitpetitgamin

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