Bruno Pelletier, l’une des voix les plus puissantes du Québec, s’est récemment confié avec une franchise désarmante sur une période difficile de sa vie, marquée par une perte financière colossale.
Invité sur le balado Le Carnet du manager, le chanteur a partagé des confidences inédites, absentes même de son livre. Il a raconté comment, au sommet du succès de Notre-Dame-de-Paris, il a vu sa vie basculer financièrement… pour le meilleur et, malheureusement, pour le pire.
À cette époque, la carrière de Bruno prenait un envol spectaculaire. L’album Miserere se vendait bien, et celui de la comédie musicale Notre-Dame-de-Paris explosait littéralement les ventes. Puis, un jour, sans crier gare, il reçoit un chèque de 400 000 $ pour les redevances de l’album.
« Quand t’es musicien, tu ne sais pas si tu vas payer ton loyer le mois d’après. Pis tout d’un coup tu reçois un chèque de 400 000 $… C’est ça qui m’est arrivé », raconte-t-il avec lucidité.
@lecarnet.ca « Ma vie a changé » Bruno Pelletier nous raconte un moment pivot de sa carrière 🎧✨ Pour écouter/visionner l’entrevue, c’est disponible sur toutes les plateformes! #brunopelletier #notredamedeparis #music #artist #comediemusicale ♬ original sound – Le Carnet du manager
Conscient de ne pas avoir les connaissances nécessaires pour gérer une telle somme, il se tourne alors vers des experts en finance. Ce qu’il croyait être une sage décision allait pourtant tourner au cauchemar.
« Je ne me suis pas fait avoir par le monde des affaires. Je me suis fait avoir par des gens à qui j’ai confié ma business, qui étaient censés m’aider à investir, à préparer ma retraite… et j’ai tout perdu. »
Bruno Pelletier a ainsi perdu près d’un demi-million de dollars, victime de mauvaises décisions prises par des professionnels en qui il avait placé toute sa confiance.
S’il peut aujourd’hui en parler avec recul, l’artiste admet que cette perte, survenue il y a une vingtaine d’années, a été extrêmement difficile à digérer.
Son témoignage résonne comme un avertissement : la célébrité soudaine et les revenus qui l’accompagnent peuvent être aussi déstabilisants qu’enivrants. Bruno Pelletier en tire aujourd’hui une grande leçon de résilience et de vigilance.
Source : 7jours
