Un des hauts dirigeants de TVA quitte son poste subitement
Ces derniers jours, un changement majeur a été annoncé dans les rangs de TVA. Le patron des nouvelles, Xavier Brassard-Bédard, a fait savoir qu’il quitterait son poste pour relever de nouveaux défis professionnels.
L’information a été dévoilée par Pierre-Karl Péladeau dans un communiqué interne adressé aux employés. Ce message, dont La Presse a obtenu une copie, confirme que Xavier Brassard-Bédard quittera officiellement ses fonctions le 11 décembre prochain.
Cette annonce marque une étape importante pour le département des nouvelles de TVA, laissant présager des ajustements à venir dans l’organisation. Les détails concernant les projets futurs de Brassard-Bédard ou son successeur n’ont pas encore été révélés.
Selon les informations disponibles, Xavier Brassard-Bédard aurait décidé de relever de nouveaux défis ailleurs, bien que la nature exacte de son prochain poste reste inconnue.
Après 14 années de service au sein du Groupe TVA, Brassard-Bédard avait été nommé rédacteur en chef de la salle des nouvelles à un moment charnière, juste avant le départ de Serge Fortin, écarté suite à des accusations liées à un climat de travail toxique. Peu après, il avait pris la relève de Fortin en tant que grand patron de TVA Nouvelles.
Les dernières années ont été particulièrement exigeantes pour Brassard-Bédard, qui a dû faire face à de nombreux défis majeurs. L’un des plus marquants a été la gestion des coupures de postes dans le réseau TVA, une décision qui a touché durement le secteur des nouvelles, en particulier dans les régions. Ce départ marque la fin d’une période mouvementée, laissant derrière lui un héritage façonné par des décisions difficiles et stratégiques.
En plus des nombreux défis auxquels Xavier Brassard-Bédard a fait face, il a également eu la lourde tâche de superviser le déménagement complet du bureau des nouvelles dans un tout nouvel édifice.
Bonne chance dans tes futurs projets, Xavier ! Que cette nouvelle aventure soit à la hauteur de tes ambitions.
Source: Le pigeon – La Presse
