un père drogue son bébé pour pouvoir « passer du bon temps » avec sa femme
Une affaire bouleversante secoue actuellement la ville de Lubbock, au Texas. Un homme de 33 ans est jugé pour avoir administré des drogues à son propre bébé, dans le but de profiter de moments d’intimité avec son épouse.
Les faits remontent à juillet 2021, lorsque le nourrisson d’Adam et Sarah Canales, âgé de seulement deux mois, est retrouvé sans vie dans des circonstances troubles. Très vite, la police ouvre une enquête. D’abord interrogé, le père nie toute responsabilité dans la mort de l’enfant.
Mais le rapport d’autopsie vient bouleverser la version d’Adam Canales : le bébé serait décédé d’une « intoxication médicamenteuse ». Face à ces conclusions, le père finit par avouer avoir donné du Benadryl à son enfant, au moins deux fois par jour. Ce médicament, destiné à traiter les allergies, est connu pour provoquer une forte somnolence. Il est formellement déconseillé aux bébés en raison des risques graves qu’il comporte.
Malgré cette interdiction, l’homme a volontairement administré le médicament à son fils. Son objectif ? Le faire dormir plus longtemps pour pouvoir, selon ses mots, passer du « temps de qualité » avec sa femme.
Les enquêteurs ont également découvert que le couple avait déjà eu recours à cette méthode pour leurs autres enfants. Ces derniers auraient été sédatés « à de nombreuses reprises », selon les éléments du dossier.
Sarah Canales, la mère du bébé, a elle aussi reconnu avoir donné au nourrisson un complément alimentaire pour favoriser son sommeil, ainsi que d’autres médicaments, censés traiter un simple rhume.
Désormais reconnu coupable, Adam Canales risque jusqu’à vingt ans de prison, rapporte le média local Everything Lubbock.
Une tragédie familiale qui choque profondément la communauté texane et relance le débat sur les dangers de l’automédication chez les jeunes enfants.
Il drogue son bébé pour passer « du bon temps » avec sa femme
C’est une affaire à la fois tragique et incompréhensible qui bouleverse actuellement la ville de Lubbock, au Texas. Un homme de 33 ans, Adam Canales, comparaît devant la justice pour avoir drogué son propre bébé, et ce, pour un motif aussi futile qu’insensé : passer du « bon temps » avec sa femme.
Les faits remontent à juillet 2021, lorsque le nourrisson du couple Canales, âgé de seulement deux mois, est retrouvé mort dans des circonstances mystérieuses. Interrogé par la police, le père nie toute implication. Pourtant, l’autopsie du petit corps révèle une vérité glaçante : le bébé est décédé d’une « intoxication médicamenteuse ».
Confronté à ces résultats, Adam Canales finit par avouer. Il reconnaît avoir donné à son enfant du Benadryl, un médicament antihistaminique normalement prescrit contre les allergies, mais connu pour provoquer une forte somnolence. L’homme admet en avoir administré au moins deux fois par jour à son fils. Ce médicament est pourtant strictement déconseillé aux bébés en raison des risques graves qu’il présente.
Malgré cette interdiction, le père a sciemment poursuivi son geste. Selon les enquêteurs, son intention était de faire dormir son enfant plus longtemps afin de pouvoir passer, selon ses propres mots, du « temps de qualité » avec son épouse.
Les investigations ont aussi montré que le couple avait déjà eu recours à ce procédé pour leurs autres enfants. Ces derniers auraient été sédatés « à de nombreuses reprises », selon les résultats de l’enquête.
De son côté, Sarah Canales, la mère du nourrisson, a reconnu avoir elle aussi donné à son bébé un complément alimentaire pour favoriser le sommeil, ainsi que d’autres médicaments destinés à traiter un simple rhume.
Le procès a confirmé que ces substances étaient administrées dans le seul but de laisser les parents profiter de moments d’intimité.
Désormais reconnu coupable, Adam Canales risque jusqu’à vingt ans de prison, selon le média local Everything Lubbock. Le sort de son épouse, lui, sera décidé ultérieurement par la justice texane.
Une affaire qui laisse la communauté sous le choc… et dont l’issue reste encore à suivre.
