
Au Québec, un consommateur nommé Homan a fait beaucoup réagir après avoir publié une vidéo dans laquelle il exprime sa frustration face aux prix chez Costco. Selon lui, le fameux magasin-entrepôt, souvent vanté comme une solution pour épargner, n’est plus ce qu’il était.
Dans sa vidéo partagée sur les réseaux sociaux, il déballe ses achats, qu’il juge ridiculement modestes par rapport à la facture totale :
« Salade, deux quinoas, une crevette, yogourt… le poulet, un kiwi, puis la seule extra que j’ai achetée du bord de la fauteuil », énumère-t-il.
Le tout lui aurait coûté 49 $. Mais c’est surtout le montant global qui l’a choqué : 150 $ pour ce qu’il considère être “presque rien”.
Pour Homan, l’idée selon laquelle faire ses courses chez Costco permettrait de réellement économiser appartient désormais au passé :
« On nous dit d’aller à Costco pour épargner… mais dépenser 150 $, c’est rendu un privilège », s’indigne-t-il.
Derrière ce coup de gueule, c’est surtout l’inflation qui est pointée du doigt. Les prix des aliments ne cessent de grimper, et même les gros détaillants comme Costco n’y échappent pas.
Avec une pointe d’ironie, Homan projette même l’avenir :
« En 2030, un simple kiwi va coûter 200 $. »
@homanshah Épicerie chère? Costco c’est la solution! 🤣💰 #ridicule #Costco #Épicerie #scam #CoûtDeLaVie ♬ Lost in Time – Orchestrova
Sa sortie traduit un ras-le-bol partagé par bien des consommateurs québécois, qui sentent que remplir son panier d’épicerie devient de plus en plus difficile financièrement.
Entre humour noir et constat amer, la vidéo de Homan met en lumière une réalité que plusieurs vivent déjà au quotidien : faire l’épicerie n’a jamais semblé aussi cher, même chez Costco.

Elle apporte une touche de profondeur et de sensibilité à l'univers des potins de stars. À travers ses mots envoûtants, Elle explore les émotions et les vérités cachées derrière les visages célèbres. Son blog offre une pause bienvenue dans le tourbillon des ragots, invitant les lecteurs à réfléchir et à ressentir au-delà des apparences.